Mélanges en vers et en prose |
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ainſi aſſez aurait auſſi beaux bonheur bras c'eſt cæur charmes cher ciel combats corps coups cours cruel d'autres d'être deſtin devait Dieu Dieux dire divine doit donner doux égal enfin ennemis eſprit eſt Etats fage fans fond font force former fort fortune fous général génie gloire gouvernement Grecs guerre héros heureux hommes humains j'ai jouir jours juger l'amour l'auteur l'Empereur l'empire l'eſprit l'Europe l'homme l'univers lieu loin lois mains malheur maux miniſtres monde mort mortels n'eſt nature nombre objets paix parler pays peine père peuple place plaiſirs porter pourrait pouvait pouvoir premier préſent princes projets qu'à qu'en qu'un raiſon rempli rend rendre rien rois Romains s'en s'il ſans ſens ſes ſeul ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſouverain ſuis ſur tendre terre tête traits trône trouble trouve vérité vertu vive vois voit Voyez vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 104 - XIV, d'ailleurs, sont connues, et ces soi-disant philosophes n'ont pas seulement le petit avantage d'être les premiers à les découvrir. Un prince qui ne régnera que huit jours en commettra sans doute ; à plus forte raison un monarque qui a passé soixante années de sa vie sur le trône.þ
ÇáÕÝÍÉ 348 - Ferney en langage velche, en dépit de l'abbé d'Olivet et des purifies de fon académie. Non , je ne veux plus à Paris Avoir de courtier littéraire : Je n'y vois plus ces beaux efprits Dont nombre d'immortels écrits En m'inftmifant favaient me plaire.þ
ÇáÕÝÍÉ 34 - Qu'ils apprennent donc que leurs faux principes sont la source la plus empoisonnée des malheurs de l'Europe. Voici l'erreur de la plupart des princes. Ils croient que Dieu a créé exprès, et par une attention toute particulière pour leur grandeur, leur félicité et leur orgueil, ; cette multitude d'hommes dont le salut leur est commis, et que leurs sujets ne sont destinés qu'à être les instruments et les ministres de leurs passions déréglées.þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - ... dans nos communs befoins ; que le malheur , les infirmités & la mort nous pourfuivent fans cefle ; & que c'eft une démence extrême de multiplier les caufes de nos mifères & de notre deftruftion.þ
ÇáÕÝÍÉ 190 - Je vois que du destin tout homme est le jouet. Mais s'il subsiste un être inexorable et sombre, D'un troupeau méprisé laissant grossir le nombre, D'un œil indifférent il voit dans l'univers Phalaris couronné, Socrate dans les fers, Nos vertus, nos forfaits, les horreurs de la guerre Et les fléaux cruels qui ravagent la terre . Ainsi mon seul asile et mon unique port Se trouve, chère sœur, dans les bras de la mort.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - Pour cet effet, il se trouve un petit duché de Luxembourg à envahir, un petit électoral de Trêves à acquérir par quelque traité, un duché de Liège par droit de bienséance; les places de la Barrière, la Flandre et quelques bagatelles semblables, devraient...þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Cependant il s'emporte contre les prêtres, contre les gouvernemens et contre l'éducation ; il croit donc que les hommes qui occupent ces emplois, sont libres, en leur prouvant qu'ils sont des esclaves. Quelle absurdité!þ
ÇáÕÝÍÉ 60 - Tel est donc et sera le destin des choses d'ici-bas, que jamais on n'atteindra au degré de perfection qu'exige le bonheur des peuples, et qu'en fait de gouvernement, comme pour toute autre chose, il faudra se contenter de ce qui est le moins défectueux.þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - Afin qu'il ne s'en écarte jamais, il doit se rappeler souvent qu'il est homme comme le moindre de ses sujets; s'il est le premier juge, le premier général, le premier financier, le premier ministre de la société, ce n'est pas pour qu'il représente, mais afin qu'il en remplisse les devoirs.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - On pourroit accuser l'auteur de sécheresse d'esprit et surtout de-mal-adresse, parce qu'il calomnie la religion chrétienne en lui imputant des défauts qu'elle n'a pas. Comment peut-il dire avec vérité que cette religion est cause de tous les malheurs du genre humain ? Pour s'exprimer avec justesse , il...þ