 | Alphonse de Lamartine - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 294
...MÉDITATION PREMIÈRE. MÉDITATION PREMIÈRE. SOUVENT sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne , Au coucher du soleil , tristement je m'assieds ; Je...dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. V Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, Le crépuscule encor jette un dernier rayon, Et... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 290
...Paris, icr octobre i8a3. MEDITATION PREMIERE. SOUVENT sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je...pieds. Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes, H serpente , et s'enfonce en un lointain obscur; Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes Où... | |
 | 1827 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 536
...pensées et de tableaux. Cette strophe est superbe : Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; II serpente, et s'enfonce en un lointain obscur; Là...étend ses eaux dormantes , Où l'étoile du soir s'élève dans l'azur. Nous dirons, en passant, aux personnes qui désirent savoir quand un participe... | |
 | Fleurs - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 264
...s'éveille Comme l'aurore dans les cieux ! L'ISOLEMENT. Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil tristement je m'assieds : Je...pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes : II serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ; Là le lac immobile étend ses eaux dormantes Où... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 378
...POÉTIQUES. PREMIÈRE MÉDITATION L'ISOLEMENT. SOUVENT sur la montague, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil , tristement je m'assieds ; Je...Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Tci gronde le fleuve aux vagues ccumantes; [I serpente, et s'enfonce en un lointain obscur; Là , le... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 354
...POÉTIQUES. PREMIERE MÉDITATION L'ISOLEMENT. 0 SOUVEKI sur la montagne, ù l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil , tristement je m'assieds ; Je...regards sur la plaine , Dont le tableau changeant su déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; II serpente, et s'enfonce en... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1836 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 754
...MÉDITATIONS POÉTIQUES. I" MÉDITATION. L ISOLEMENT Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds , Je...; Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ; La, le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du son- se lève dans l'azur. Au sommet... | |
 | Paul Ackermann - 1841 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 134
...le mien? Id. A mes amis, devenus minisires. Souvent sur la montagne, à l'ombre d'un viens chêne. Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je...Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. De Lamartine. L'Isolement. QUALIFICATIF. Constructions servant à fixer l'attention sur le qualificatif:... | |
 | Marin J George de La Voye - 1844 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 342
...régner partout, et même dans la Fable. •ROILEAU. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes , II serpente et s'enfonce en un lointain obscur; Là,...dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. ii. IJK LAMARTINE. AVANT-PROPOS. LES aventures pastorales d'Estelle et de Némorin, pour être plus... | |
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Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. 
