Oeuvres complètes de l'abbé Proyart,...Méquignon fils aîné, 1819 |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
abus accusé agens généraux athée auroient auroit avez avoient avoit bureau c'étoit candidats citoyens classe clergé Cléry cœur colléges connoissances constitution convention crime d'avoir Dauphin décret demande Desèze devoirs Dieu disoit Dumouriez écoliers élèves enfans étoient étoit eût évêque falloit famille franc-maçonnerie Garat heures hommes ibid j'ai jacobins Jacques Roux jeunes gens jeunesse jour jugement justice l'abbé de Firmont l'assemblée l'échafaud l'éducation publique l'université Louis XVI madame Élisabeth main maison d'institution maîtres de quartier Malesherbes Maurepas ministres mœurs monarque mort municipaux n'avoit nation pable parens parler paroît pension pensionnaires père peuple philosophes plan d'éducation pourroient pourroit pouvoit prêtre catholique prêtres prince principal principes prononcer puissance qu'un régens régicide religieux religion reproche révolution révolution française rois royauté s'il sage sentiment Septeuil seroient seroit seroit-il seul siècle soient soins SOMMAIRE DU LIVRE sort sous-principal sujets surtout talens tion tour du Temple Tronchet trône vertueux vertus Voltaire yeux zèle
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Paris, par ceux qui étaient mes sujets, et privé de toute communication quelconque , même , depuis le 1 1 du courant , avec ma famille ; de plus impliqué dans un procès dont il est impossible de prévoir l'issue à cause des passions des hommes , et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante, n'ayant que Dieu pour témoin de mes pensées et auquel je puisse m'adresser, je déclare ici en sa présence mes dernières volontés et mes sentiments.þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Je recommande mes enfants à ma femme; je n'ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux. Je lui recommande surtout d'en faire de bons chrétiens et d'honnêtes hommes; de ne leur faire regarder les grandeurs de ce monde-ci (s'ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l'éternité.þ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Mystères tels que l'Église catholique les enseigne et les a toujours enseignés. Je n'ai jamais prétendu me rendre juge dans les...þ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Je laisse mon âme à Dieu, mon créateur ; je le prie de la recevoir dans sa miséricorde, de ne pas la juger...þ
ÇáÕÝÍÉ 148 - ... malheureuses victimes. Je lui recommande aussi Cléry, des soins duquel j'ai en tout lieu de me louer depuis qu'il est avec moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 148 - J'ai trouvé quelques âmes sensibles et compatissantes : que celles-là jouissent, dans leur cœur, de la tranquillité que doit leur donner leur façon de penser! «Je prie MM. de...þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - ... autre manière que ce puisse être. Je prie Dieu particulièrement de jeter des yeux de miséricorde sur ma femme, mes enfants et ma sœur, qui souffrent depuis longtemps avec moi ; de les soutenir par sa grâce , s'ils viennent à me perdre , et tant qu'ils resteront dans ce monde périssable.þ
ÇáÕÝÍÉ 147 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve ; qu'il ne peut faire le bonheur des Peuples qu'en régnant suivant les lois...þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Dieu qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissants à leur mère, et reconnaissants de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux, et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils, s'il...þ
ÇáÕÝÍÉ 99 - J'ai à examiner ici les principes sous deux points de vue : Sous le point de vue où Louis se trouvait placé avant l'abolition de la royauté. Et sous celui où il se trouve placé depuis que cette abolition a été prononcée. En entrant dans cette discussion, je trouve d'abord le décret par lequel la Convention nationale a décidé que Louis...þ