Revue des deux mondes, ÇáãÌáÏ 1François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1874 |
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affaires Aigues-Mortes Allemands anglais arrive assez avaient blé Bret Harte Brudnel Bunsen c'était Camargue Catherine catholique cause cépages chose commence côté coup d'Aigues-Mortes d'autres demande devant Dieu dire Dolorès donner enfans États-Unis européenne eût événemens femme fille force François Ier Frédéric-Guillaume Frédéric-Guillaume IV général gouvernement Grèce guerre Guichardin Hissarlik hommes j'ai j'avais j'étais jamais Jeanne jeune jour jusqu'à l'Allemagne l'amiral l'Angleterre l'Autriche l'Europe l'octroi laisser lord lord John Russell lord Palmerston Louis main Manoela maréchal mari ment mère mètres militaire millions ministre monde mormon moyen n'avait n'était Panticosa parallaxe parler passé passion pays pensée père personne peuple peut-être phylloxera politique population porte pouvait premier presque prince princesse Prusse prussien qu'un question raison religieux reste Rhône rien Russie s'est s'était saint Saint-Pétersbourg sais semble sentiment serait sérieux seul siècle sir Richard situation sœur sorte Stenhouse Tatars Thommeray tion trouve tsar Vianne vignes voie voilà vrai
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ÇáÕÝÍÉ 459 - Je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de pénitence.þ
ÇáÕÝÍÉ 821 - Je vais être seule, et j'en suis fort aise : pourvu qu'on ne m'ôte pas le pays charmant, la rivière d'Allier, mille petits bois, des ruisseaux , des prairies, des moutons , des chèvres , des paysannes qui dansent la bourrée dans les champs, je consens de dire adieu à tout le reste ; le pays seul me guérirait.þ
ÇáÕÝÍÉ 803 - J'ai vu aussi cette tour de Constance (continue M- Êoissy-d'Anglas en s'adressant à ses enfans); elle n« peut que vous inspirer un double intérêt, puisque la bisaïeule de votre mère , y ayant été renfermée étant grosse , comme accusée d'avoir été au prêche , y donna le jour à une fille de laquelle vous descendez. J'avoue que je n'ai rien vu d'aussi propre à inspirer de longs souvenirs; c'était vers i768, cinq ou six ans avant le fait rapporté par M.þ
ÇáÕÝÍÉ 816 - C'est la plus surprenante chose du monde : des paysans, des paysannes, une oreille plus juste que vous, une légèreté, une disposition, enfin j'en suis folle.þ
ÇáÕÝÍÉ 815 - On va à six heures à la fontaine : tout le monde s'y trouve, on boit, et l'on fait une fort vilaine mine ; car imaginez-vous qu'elles sont bouillantes, et d'un goût de salpêtre fort désagréable. On tourne, on va, on vient, on se promène, on entend la messe, on rend...þ
ÇáÕÝÍÉ 860 - Ottomane, et l'on déclarerait en même temps à cette puissance que le débarquement d'une force alliée dans la péninsule grecque n'était point opéré dans des vues hostiles à son égard. Dès qu'Ibrahim se serait rembarqué , les troupes françaises quitteraient la Morée. Si les forces du pacha opéraient leur retraite par terre, un corps d'observation pourrait être laissé vers l'isthme de Corinthe, pour empêcher leur retour dans la Péninsule. Le baron Hyde de Neuville avait à cette...þ
ÇáÕÝÍÉ 894 - Rossel qui donnera en quelques lignes la formule du nouveau terrorisme, peu différent de l'ancien : « lorsque Danton disait qu'il valait mieux être guillotiné que guillotineur, il ne croyait plus à la chose publique.þ
ÇáÕÝÍÉ 423 - ... arrérages de toute espèce accumulés depuis plusieurs années , le cours des recettes interverti , une multitude de billets, d'ordonnances et d'assignations anticipées de tant de natures différentes , et qui montent à des sommes si considérables, qu'à peine en peut -on faire la supputation.þ
ÇáÕÝÍÉ 190 - Europe, et mettre en péril les intérêts et l'honneur de la France. Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - Assurés que l'immigration est une des forces vives de la république américaine, et que là surtout il n'ya rien de fait tant qu'il reste quelque chose à faire...þ