Mémoires historiques sur la révolution d'Espagne

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
Rosa, 1816 - 406 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

ÇáÕÝÍÇÊ ÇáãÍÏÏÉ

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 366 - Royale déchire par là ses droits. Qu'elle ferme l'oreille à des conseils faibles et perfides. Elle n'a pas le droit de juger le prince de la Paix. Ses crimes , si on lui en reproche , se perdent dans les droits du trône. J'ai souvent manifesté le désir que le prince de la Paix fût éloigné des affaires; l'amitié du roi Charles m'a porté souvent à me taire et à détourner les yeux des faiblesses de son attachement.þ
ÇáÕÝÍÉ 366 - Elle n'a pas le droit de juger le prince de la Paix. Ses crimes , si on lui en reproche , se perdent dans les droits du trône. J'ai souvent manifesté le désir que le prince de la Paix fût éloigné des affaires; l'amitié du roi Charles m'a porté souvent à me taire et à détourner les yeux des faiblesses de son attachement. Misérables hommes que nous sommes ! Faiblesse et erreur, c'est notre devise.þ
ÇáÕÝÍÉ 365 - Elle doit avoir acquis la preuve, dans les papiers qu'elle a eus du roi son père, de l'intérêt que je lui ai toujours porté. Elle me permettra, dans la circonstance actuelle, de lui parler avec franchise et loyauté. þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - VMI, c'est tout ce que mon cœur désire; mais ce n'est pas le compte de ces égoïstes perfides qui l'assiègent, et ils peuvent, dans un premier moment, le surprendre. Tel est le motif de mes craintes.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - La voix de la nature désarme le bras de la vengeance, et lorsque l'inadvertance réclame la pitié, un père tendre ne peut s'y refuser. Mon fils a déjà déclaré les auteurs du plan horrible que lui avaient fait concevoir des malveillans.þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - Elle peut être certaine que, dans tous les cas , je me comporterai avec elle comme envers le roi son père. Qu'elle croie à mon désir de tout concilier, et de trouver des occasions de lui donner des preuves de mon affection et de ma parfaite estime. — Sur ce, je prie Dieu, mon frère, qu'il vous ait en sa sainte et digne garde. — NAPOLÉON ('). » Ferdinand arriva , le 20 , à Rayonne ; quelques jours après » (*) Voyez les mémoires de Savary.þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - VMI ce qu'elle connaît mieux que moi, que ces mêmes qualités si estimables, ne servent que trop souvent d'instrumens aux personnes artificieuses et méchantes pour obscurcir la vérité aux yeux des souverains, quoique si analogue à des caractères comme celui de mon respectable père. Si ces mêmes hommes qui, par malheur, existent ici, lui laissaient connaître à fond celui de VMI...þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - J'ai déjà vu avec peine qu'à Madrid on ait répandu des lettres du capitaine général de la Catalogne , et fait tout ce qui pouvait donner du mouvement aux têtes. VAR connaît ma pensée tout entière ; elle voit que je flotte entre diverses idées qui ont besoin d'être fixées. Elle peut être certaine que, dans tous les cas , je me comporterai avec elle comme envers le roi son père. Qu'elle croie à mon désir de tout concilier , et de trouver des occasions de lui donner des preuves de mon...þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - Je ne voudrais faire de mal à personne; mais quand mon grand char politique est lancé , il faut qu'il passe : malheur à qui se trouve sous les roues!þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - Je suis bien malheureux d'être obligé par les circonstances , à cacher, comme un crime , une action si juste et si louable ; mais telles sont les conséquences funestes de l'extrême bonté des meilleurs rois. Rempli de respect et d'amour filial pour celui à...þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ