Histoire critique et générale de la suppression des Jésuites au XVIII Siècle, ÇáãÌáÏ 1Librairie catholique de Perisse frères, 1846 |
ãä ÏÇÎá ÇáßÊÇÈ
ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 100
ÇáÕÝÍÉ xxviii
... général de Henri III , le défenseur intrépide de l'Université et l'adversaire des Jésuites ; rien de plus galant et de plus amoureux que ses poésies légères . » Journal des Débats , 23 mars 1846 . L'auteur de poésies galantes et ...
... général de Henri III , le défenseur intrépide de l'Université et l'adversaire des Jésuites ; rien de plus galant et de plus amoureux que ses poésies légères . » Journal des Débats , 23 mars 1846 . L'auteur de poésies galantes et ...
ÇáÕÝÍÉ xxxiii
... général en chef des armées de Sa Majesté Louis XVIII . En vain la première édition de l'Histoire de France publiée en 1814 s'arrêtait à 1789 et ne parlait pas de Bonaparte ; en vain les éditions sui- vantes , à dater de la septième ...
... général en chef des armées de Sa Majesté Louis XVIII . En vain la première édition de l'Histoire de France publiée en 1814 s'arrêtait à 1789 et ne parlait pas de Bonaparte ; en vain les éditions sui- vantes , à dater de la septième ...
ÇáÕÝÍÉ xl
... général pour l'en accuser ; il invente des fables qui ne sont crues de personne . A l'entendre , c'est l'étourderie d'un caporal qui , en faisant sauter un pont , a causé à la France le plus grand revers qu'elle ait essuyé . « Il ne ...
... général pour l'en accuser ; il invente des fables qui ne sont crues de personne . A l'entendre , c'est l'étourderie d'un caporal qui , en faisant sauter un pont , a causé à la France le plus grand revers qu'elle ait essuyé . « Il ne ...
ÇáÕÝÍÉ lxxix
... général le Sacerdoce , quelques - uns ont porté con- tre moi une accusation qui est bien vulgaire aujour- d'hui , en disant que je suis ce qu'ils appellent un affi- lié du Jésuitisme , un instrument de cette prétendue secte ...
... général le Sacerdoce , quelques - uns ont porté con- tre moi une accusation qui est bien vulgaire aujour- d'hui , en disant que je suis ce qu'ils appellent un affi- lié du Jésuitisme , un instrument de cette prétendue secte ...
ÇáÕÝÍÉ lxxxv
... . Cousin a pris encore ce que le Procureur - général de Rennes avait de paroles dé- ( 1 ) Traité des Etudes , tom . 1 , pag Ixxiv , édit . in - 4o de 1740 . h daigneuses pour Jouvency . « Quel frivole bel esprit que PRELIMINAIRES . lxxxv.
... . Cousin a pris encore ce que le Procureur - général de Rennes avait de paroles dé- ( 1 ) Traité des Etudes , tom . 1 , pag Ixxiv , édit . in - 4o de 1740 . h daigneuses pour Jouvency . « Quel frivole bel esprit que PRELIMINAIRES . lxxxv.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
accusations arrêt assez avaient Bref Bulle c'était cardinal catholique Chalotais Charles Charles III Choiseul chose chrétienne Chute des Jésuites Clément XIV clergé collége Compagnie de Jésus condamné congrégations cour Cousin d'Espagne déclare destruction Diderot Dieu disait doctrine donner ecclésiastiques écrivain écrivait édit ennemis esprit établir Etats eût évêques Galiani Général gens gouvernement Guizot Histoire hommes Ibid Jansénistes Jésuites jour Journal des Débats Journal historique juge justice l'abbé l'autorité l'Eglise l'Etat l'Institut l'Université Lamache lettre liberté livre lois Louis XV magistrats Majesté Mémoires ment Michelet ministre Monclar morale n'avait Naples OEuvres de d'Alembert Ordres religieux Paciaudi Pape Parlement Père peuple philosophie Pie VII politique Pombal Pompadour Pontife Portugal prêtres prince protestant Prusse public Quinet raison religion reste Ricci rien rois Rome royale royaume saint Ignace Saint-Priest Saint-Siége savant serait seul siècle Société de Jésus souverains sujet suppression Thiers tion trouve Voilà Voltaire XVII
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 142 - Les frères de la doctrine chrétienne qu'on appelle ignorantins sont survenus pour achever de tout perdre ; ils apprennent à lire et à écrire à des gens qui n'eussent dû apprendre qu'à dessiner et à manier le rabot et la lime, mais qui ne le veulent plus faire ; ce sont les rivaux et les successeurs des jésuites.þ
ÇáÕÝÍÉ xlvii - J'ai voulu la liberté sous diverses formes, j'ai vu qu'elle était possible sous la Monarchie, j'ai vu le Roi se rallier à la nation; je n'irai pas, misérable transfuge, me traîner d'un pouvoir à l'autre, couvrir l'infamie par le sophisme, et balbutier des mots profanés pour racheter une vie honteuse.þ
ÇáÕÝÍÉ 240 - Le Paraguay peut nous fournir un autre exemple. On a voulu en faire un crime à la Société™, qui regarde le plaisir de commander comme le seul bien de la vie, mais il sera toujours beau de gouverner les hommes en les rendant plus heureux6. Il est glorieux pour elle d'avoir été la première qui ait montré dans ces contrées l'idée de la religion jointe à celle de l'humanité.þ
ÇáÕÝÍÉ 122 - C'est le seul ouvrage philosophique qui ait été fait jusqu'ici contre cette canaille. Il s'en faut bien que cet esprit de philosophie règne dans les parlements.þ
ÇáÕÝÍÉ xlii - Soldats ! cet homme qui naguère abdiqua aux yeux de toute l'Europe un pouvoir usurpé dont il avait fait un si fatal usage , Bonaparte est descendu sur le sol français qu'il ne devait plus revoir. «Que veut-il? la guerre civile; que cherche-t-il? des traîtres; où les trouverait-il?þ
ÇáÕÝÍÉ 202 - Astruc est comme Pasquin , il parle quelquefois d'assez bon sens. Pour moi qui vois tout , en ce moment, couleur de rose, je vois d'ici les jansénistes mourant l'année prochaine de leur belle mort , après avoir fait périr cette annéeci les jésuites de mort violente ; la tolérance s'établir ; les protestans rappelés, les prêtres mariés, la confession abolie , et l'infâme écrasée sans qu'on s'en aperçoive.þ
ÇáÕÝÍÉ lxxiii - L'Europe savante a fait une perte irréparable dans les jésuites. L'éducation ne s'est jamais bien relevée depuis leur chute.þ
ÇáÕÝÍÉ 293 - JeanJacques s'est bien fait voir ce qu'il est, un fou et un vilain fou , dangereux et méchant, ne croyant à la vertu de personne, parce qu'il n'en trouve pas le sentiment au fond de son cœur, malgré le beau pathos avec lequel il en fait...þ
ÇáÕÝÍÉ 313 - C'est une chose unique dans l'histoire de ce monde, et je vous réponds que cela ira loin. Je me vante à vous d'être un peu dans ses bonnes grâces; je suis son chevalier envers et contre tous. Je sais bien qu'on lui reproche quelques bagatelles au sujet de son mari, mais ce sont des affaires de famille dont je ne me mêle pas...þ
ÇáÕÝÍÉ 316 - Qu'on pende le prédicant Rochette', ou qu'on lui donne une abbaye, cela est fort indifférent pour la prospérité du royaume des Francs; mais j'estime qu'il faut que le parlement le condamne à être pendu, et que le roi lui fasse grace. Cette humanité le fera aimer de plus en plus; et si c'est vous, monseigneur, qui obtenez cette grace du roi , vous serez l'idole de ces faquins de huguenots.þ