Histoire du droit des gens et des relations internationales: Rome

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L. Hebbelynck, 1850
 

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ÇáÕÝÍÉ 323 - La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes, ni même comme citoyens ' , mais comme soldats ; non point comme membres de la patrie . mais comme ses défenseurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 188 - ... les mêmes magistrats, les mêmes murailles, les mêmes dieux, les mêmes temples, les mêmes sépultures, on ne vit plus Rome des mêmes yeux, ou n'eut plus le même amour pour la patrie, et les sentiments romains ne furent plus.þ
ÇáÕÝÍÉ 370 - Tu regere imperio populos, Romane, memento; Hae tibi erunt artes , pacisque imponere morem , Parcere subjectis, et debellare superbos.þ
ÇáÕÝÍÉ 408 - Judaeam, originem ejus mali, sed per urbem etiam, quo cuncta undique atrocia aut pudenda confluunt celebranturque.þ
ÇáÕÝÍÉ 408 - ... et pereuntibus addita ludibria, ut ferarum tergis contecti laniatu canum interirent aut crucibus adfixi [aut flammandi atque], ubi defecisset dies, in usu[m] nocturni luminis urerentur.þ
ÇáÕÝÍÉ 233 - ... c'est celui-là surtout qu'ils ont frappé, avides qu'ils étaient d'inspirer la terreur par le choix de la victime. Ainsi périt le dernier des Gracques de la main des patriciens; mais, atteint du coup mortel, il lança de la poussière vers le ciel, en attestant les dieux vengeurs; et de cette poussière naquit Marius, Marius, moins grand pour avoir exterminé les Cimbres que pour avoir abattu dans Rome l'aristocratie de la noblesse.þ
ÇáÕÝÍÉ 23 - ... relation est d'autant plus précieuse, qu'elle est un monument punique, et c'est parce qu'elle est un monument punique qu'elle a été regardée comme fabuleuse. Car les Romains conservèrent leur haine contre les Carthaginois même après les avoir détruits. Mais ce ne fut que la victoire qui décida s'il fallait dire la foi punique ou la foi romaine.þ
ÇáÕÝÍÉ 283 - ... Rhodope et de l'Hémus, cher à Orphée, est ici; on y voit le Sarmate » qui s'abreuve de sang de cheval, l'Ethiopien qui boit les eaux du Nil à » sa source, celui dont les rivages sont battus par les derniers flots de la « mer. L'Arabe y accourt avec le Sabéeu, et le Cilicien y est arrosé des « parfums de son pays. Le Sicambre aux cheveux tressés et bouclés s'y » rencontre avec l'Éthiopien crépu. Mille langues différentes s'y parlent « . devait paraître une profanation aux yeux...þ
ÇáÕÝÍÉ 461 - ... les gens de bien, parents les uns des autres, « et les méchants seuls étrangers : au demeurant, que le Grec et « le Barbare ne seraient point distingués par le manteau ni à la « façon de la targue, ou au cimeterre, ou par le haut chapeau ; þ
ÇáÕÝÍÉ 127 - ... de grandes guerres. Il y avait dans ces temps-là comme deux mondes Séparés : dans l'un combattaient les Carthaginois et les Romains ; l'autre était agité par des querelles qui duraient depuis la mort d'Alexandre : on n'y pensait point à ce qui se passait en Occident...þ

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