| Musée du Louvre. Département des objets d'art, Léon marquis de Laborde - 1853 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 576
...trésor de cette église, étaient bel et bien des défenses de narval. •Quoique arrivant en pros grand nombre sur le marché européen, ces soi-disant...qu'à partir du xiv» siècle, la licorne l'emporta à cetejjard ehr toutes les autres matières et substances usitées ou proposées, die seule ou presque... | |
| 1879 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 338
...rondelles, en raison de l'idée qu'on y attachait, que c'était « un contre-poison ou au moins un moyen indicateur de la présence du poison dans les boissons et dans les mets. On acheta, dès l'origine, la licorne en défenses entières, pour les conserver comme curiosité dans... | |
| Xavier Barbier de Montault - 1889 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 600
...rondelles, en raison de l'idée qu'on y attachait, que c'était « un contre-poison ou au moins un moyen indicateur de la présence du poison dans les boissons et dans les mets. On acheta, dès l'origine, la licorne en défenses entières, pour les conserver comme curiosité dans... | |
| Frances Marjorie Graves - 1926 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 218
...qui venait de l'Orient, ou plus particulièrement du Levant. 2. Au moyen âge, l'usage de la licorne comme moyen indicateur de la présence du poison dans les boissons et dans les mets, fut général. De là, la superstition que l'eau dans laquelle on avait trempé la licorne, acquérait... | |
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