Mémoires et souvenirs d'un pair de France: ex-membre du Sénat conservateurChez les marchands de nouveautés, 1840 |
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ÇáÕÝÍÉ 405 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.þ
ÇáÕÝÍÉ 398 - ... j'étais allé, pour ainsi dire, au-devant des vœux de la nation, en manifestant à l'avance ce que je voulais faire pour son bonheur. Il semblait que vous n'aviez qu'à finir mon ouvrage, et la nation attendait avec impatience le moment où, par le concours des vues bienfaisantes de son souverain, et du zèle éclairé de ses représentants, elle allait jouir des prospérités que cette union devait lui procurer.þ
ÇáÕÝÍÉ 401 - ... que la nation française ! Je ne craindrai pas de l'exprimer: ceux qui , par des prétentions exagérées , ou par des difficultés hors de propos , retarderaient encore l'effet de mes intentions paternelles , se rendraient indignes d'être regardés comme Français.þ
ÇáÕÝÍÉ 403 - ... dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant; et connaissant vos cahiers, connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de la nation et mes intentions bienfaisantes, j'aurai toute la confiance que doit inspirer une si rare harmonie, et je marcherai vers le but auquel je veux atteindre avec tout le courage et la fermeté qu'il doit m'inspirer.þ
ÇáÕÝÍÉ 398 - États généraux sont ouverts depuis près de deux mois, et ils n'ont point encore pu s'entendre sur les préliminaires de leurs opérations. Une parfaite intelligence aurait dû naître du seul amour de la patrie, et une funeste division jette l'alarme dans tous les esprits. Je veux le croire, et j'aime aie penser, les Français ne sont point changés. Mais pour éviter de faire...þ
ÇáÕÝÍÉ 403 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.þ
ÇáÕÝÍÉ 402 - Vous venez , messieurs , d'entendre le résultat d'e mes dispositions et de mes vues : elles sont conformes au 'vif desir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée , vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples ; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant...þ
ÇáÕÝÍÉ 444 - ... c'est moi, qui ne suis qu'un avec ma nation ; c'est moi qui me fie à vous ! aidez-moi , dans cette circonstance , à assurer le salut de l'état; je l'attends de l'assemblée nationale.þ
ÇáÕÝÍÉ 265 - Blesois valent à eux seuls, dit-on, le comté de Sancerre, et que le public ajoute à ces huit mille arpents un grand nombre de terres dans différentes provinces, et une grosse somme donnée à M. le baron d'Espagnac.þ
ÇáÕÝÍÉ 399 - Mais, pour éviter de faire à aucun de vous des reproches, je considère que le renouvellement des états généraux, après un si long terme, l'agitation qui l'a précédé, le but de cette convocation, si différent de celui qui rassemblait vos ancêtres, les restrictions dans les pouvoirs, et plusieurs autres circonstances, ont dû nécessairement amener des oppositions, des débats, des prétentions exagérées.þ