Louvois, que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement, mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant pour faire exécuter soi-même le brùlement d'une ville peuplée, à... Revue canadienne - ÇáÕÝÍÉ 783ÇáãÍÑÑæä: - 1873ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
| Eugène Bonnemère - 1865 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...d'obéir à ces sauvages prescriptions. Le comte de Tessé demandait grâce à Louvois : « Monseigneur, je ne crois pas que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement; mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant... | |
| Eugène Bonnemère - 1865 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 540
...d'obéir à ces sauvages prescriptions. Le comte de Tessé demandait grâce à Louvois : « Monseigneur, je ne crois pas que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement; mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant... | |
| François Guizot - 1875 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 588
...Bingen furent détruites et brûlées. « Je ne crois pas, écrivait le comte de Tessé à Louvois, que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement, mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant... | |
| Edgard Rouard de Card - 1877 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 204
...tristement célèbre par sa froide (1) «Je ne crois pas, écrivait le comte de Tessé à Louvois, que de «huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je « prends la liberté de vous parler naturellement, mais je ne prévoyais « pas qu'il en coûtât... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1916 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 590
...Louvois le 4 mars 1689 au sujet de la belle résidence des électeurs palatins (tome V, p. 298) : « Je ne crois pas que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement; mais je ne prévoyois pas qu'il en coûtât autant... | |
| François Guizot - 1887 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 594
...Birigen furent détruites et brûlées. « Je ne crois pas, écrivait le comte de Tessé à Louvois, que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement, mais je ne prévoyais pas qu'il en coulât autant... | |
| François Guizot - 1887 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 600
...Bingen furent détruites et brûlées. « Je ne crois pas, écrivait le comte de Tessé à Louvois, que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement, mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant... | |
| 1873 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1252
...m'interroger sans cesse sur Paris, qu'il brûle d'aller voir, fout en le qualifiant de Sodome. Au fond, ilpde l'amour dans sa haine. » Et puis, ces cerveaux allemands...l'entrée du palais de Louis XIV, a dû se souvenir du l'alatinat. Slutlgart, 12 juillet. C'est à la station de la jolie petite ville de Bruchsal, s'il m'en... | |
| Luc-Normand Tellier - 1987
...lendemain, le comte de Tessé, René III de Froulay, chargé du sort d'Heidelberg, écrit à Louvois : Je ne crois pas que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement ; mais je ne prévoyais pas qu'il en coûtât autant... | |
| Camille-Félix-Michel Rousset - 1864 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 588
...comle de Tessé envoyait à Louvois son procès-verbal d'exécution : « Je ne crois pas, disait-il, que de huit jours mon cœur se retrouve dans sa situation ordinaire. Je prends la liberté de vous parler naturellement ; mais je ne prévoyois pas qu'il en coûtât autant... | |
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