Essai sur la littérature anglaise |
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Adam amour anges anglais appelé arrive aurait avaient avant beau belle brillante cause changement chant Charles charme cherche choses ciel commencement côté cour créé d'abord d'être demeure dernier devant Dieu dire divine doit donne élevé enfants ennemi esprits femme fille fils fleurs force forme fruit garde génie gloire goût Grèce guerre haut heureux hommes humaine j'ai jeune joie jour jugement jusqu'à juste l'air l'autre l'enfer l'homme laissé langue lettres lever liberté lieu livre loin lumière Luther main maintenant malheur ment milieu Milton monde mort n'était nature nouvelle nuit ouvrages paradis parle paroles passé peine pendant pensées perdu père peuple pieds place plein poète porte pouvoir premier présent propre puissant qu'un race raison regards règne rempli reste révolution rien saint sais Satan semble sent sera serpent seul Shakespeare siècle soleil sorte souvent terre tête tombe tour travers trouve vérité vive voix voyait yeux
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ÇáÕÝÍÉ 30 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé ellemême, c'est le dévouement à la science.þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et...þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - ... mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde dont la surface des eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait...þ
ÇáÕÝÍÉ 104 - Wilt thou be gone ? it is not yet near day. It was the nightingale, and not the lark, That pierced the fearful hollow of thine ear; Nightly she sings on yon pomegranate tree. Believe me, love, it was the nightingale.þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis, Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin. Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père...þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - ... du vassal, la simple foi du chrétien, s'y mêlaient à la rude indépendance plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. Il ne parlait pas plus qu'un lion ; il se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts : son intelligence était du genre de celle...þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 278 - I nos destins ont été pareils 1 mes songes s'évanouissent, à mesure que vos palais s'écroulent; les heures de mon printemps se sont noircies, comme les arabesques dont le faîte de vos monuments est orné. Mais vous périssez à votre insu; moi, je sais mes ruines; votre ciel voluptueux, la vénusté des flots qui vous lavent, me trouvent aussi sensible que je le fus jamais.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - ... temps : elle annonce la décadence de la haute poésie et du vrai drame ; on se contente des petites beautés , quand on est impuissant aux grandes ; on imite , à tromper l'œil , des fauteuils et du velours , quand on ne peut plus peindre la physionomie de l'homme assis sur ce velours et dans ces fauteuils.þ
ÇáÕÝÍÉ 237 - J'ai achevé ma course : et plût à Dieu que je pusse ajouter : J'ai été fidèle ! Qu'il me soft permis d'employer uniquement pour Dieu et pour moi-même ce qui me reste de vie Là, oubliant les choses du monde, je passerai devant Dieu toutes les années de ma vie dans l'amertume de mon âme.þ