Œuvres de Frédéric le Grand ...

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ÇáÕÝÍÉ 509 - ... je suis, SIRE DE VOTRE MAJESTÉ, Le très humble, très obéissant, et très fidèle serviteur et sujet, RACINE. PREMIÈRE PRÉFACE...þ
ÇáÕÝÍÉ 261 - La situation où je suis serait peut-être, monsieur, un motif suffisant pour bien d'autres de renoncer à son pays. Ma fortune est au-dessous du médiocre; 1700 livres de rente font tout mon revenu. Entièrement indépendant et maître de mes volontés, je n'ai point de famille qui s'y oppose. Oublié du gouvernement, comme tant de gens le sont de la Providence, persécuté même autant qu'on peut l'être quand on évite de donner trop d'avantage sur soi à la méchanceté des hommes, je n'ai aucune...þ
ÇáÕÝÍÉ 132 - Je ne me rappelle point, Sire, qu'en aucun endroit de ce vaste dictionnaire on ait eu en même temps la sottise et l'audace de combattre l'amour de la patrie; il est bien sûr au moins que je ne l'aurais pas souffert, tout le temps que j'ai été à la tête de cet ouvrage. Il se peut que quelque prétendu philosophe (car bien des faquins usurpent aujourd'hui ce nom) ait imprimé dans une brochure ignorée des sottises absurdes contre le patriotisme; mais croyez, Sire, que tous les philosophes vraiment...þ
ÇáÕÝÍÉ 110 - ... L'Académie Française n'a pu encore obtenir de faire pour M. de Voltaire le service qu'elle a coutume de faire pour tous les membres qu'elle perd; et peut-être, malgré ses sollicitations, elle n'obtiendra pas cette grâce , dont le refus est un nouvel outrage à la mémoire du grand homme que nous regrettons. Au reste , tous les gens de lettres lui rendent cette justice , que personne n'ose se présenter encore pour lui succéder; et il ya tout lieu de croire que l'élection ne se fera pas...þ
ÇáÕÝÍÉ 337 - ... par elle-même d'une très-grande richesse, elle a pris en peu de temps toutes les formes désirables. Quant à moi, exilé de ma patrie depuis ma première jeunesse, n'ayant presque aucun temps depuis nombre d'années à donner à la lecture, je ne suis pas en état de juger ce procès ; mais il est vrai que toutes les fois que j'ai traversé l'Allemagne, on m'a montré des morceaux parfaitement bien écrits, et je n'y ai plus retrouvé l'ancien jargon tudesque : d'où j'ai conclu qu'il était...þ
ÇáÕÝÍÉ 68 - Bible expliquée & commentée par les aumôniers de vm, qui n'ont rien de mieux à faire que de commenter la Bible pour d'autres, puisque vm ne juge pas à propos de se la faire expliquer par eux. Mais j'apprends qu'il ya en effet un autre objet dont il est en ce moment très affligé, c'est que son établissement de Ferney lui devient très à charge par le peu de secours qu'il trouve pour l'entretenir, depuis que...þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - VM pour ce grand homme, et de son amour pour les talents et le génie. Je voudrais pouvoir faire lire à toute l'Europe littéraire ce que VM me fait l'honneur de m'écrire à ce sujet, et qui est si propre à encourager et à consoler ceux qui cherchent comme elle, quoique avec des...þ
ÇáÕÝÍÉ 265 - ... aux sages. J'apprends d'ailleurs que M. de Maupertuis est mieux, et je commence à croire que l'Académie et la Prusse pourront enfin le conserver. La délicatesse dont je vous ai parlé à son égard est aussi une chose sur laquelle je ne pourrais me vaincre, quand même des motifs encore plus forts ne s'y joindraient pas. Ainsi , monsieur , je supplie...þ
ÇáÕÝÍÉ 49 - On n'aurait plus de compassion pour le malheur des autres; l'espèce humaine deviendrait dure et impitoyable. Notre raison doit nous servir à modérer tout ce qu'il ya d'excessif en nous, mais non pas à détruire l'homme dans l'homme. Regrettez donc votre perte, mon cher; j'ajoute même que celles de l'amitié sont irréparables, et que quiconque est capable d'apprécier les choses vous doit juger digne d'avoir de vrais amis, parce que vous savez aimer. Mais comme il est au-dessus...þ
ÇáÕÝÍÉ 191 - ... très-grande distance coulent l'une auprès de l'autre sans se mêler. Ce sujet , sire , fournirait beaucoup , mais tout cela ne serait bon à dire qu'à l'oreille de votre majesté, et malheureusement j'en suis trop loin. Je puis seulement me permettre de lui dire , pour échantillon de notre double caractère national , que d'un côté les bons citoyens et les gens sages ne désirent que la fin d'une guerre jusqu'à présent très-ruineuse sans beaucoup d'avantages, et que de l'autre tous nos...þ

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