Histoire du règne de Louis-Philippe Ier: roi des Français, 1830-1848, ÇáãÌáÏ 3Didier et cie, 1859 |
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Abd-el-Kader accusés Arabes armée armes avaient barricades c'était Cabinet Casimir Périer cent Chambre des députés Chambre des pairs Charte chef Clausel combat comité commandant condamné conseil Cour des pairs czar d'Alger d'Oran déclaration devait dom Miguel duc de Broglie duchesse de Berri Dupin effet ennemis Fieschi force garde nationale garnison général Bugeaud général Clausel général Desmichels général Trézel Gouvernement guerre Guizot hommes insurgés jour journaux juges jury justice Kabyles l'Angleterre l'armée l'autorité l'émir l'insurrection l'opposition Lafayette laisser légitimistes liberté lord lord Palmerston Louis-Philippe Lyon Madame la duchesse majorité maréchal Gérard Médéah ment mille ministère monarchie Morey n'avait n'était Odilon Barrot Oran ordonnance Pépin peuple place police politique population porter pouvait pouvoir président presse princesse publique qu'une question refus républicains république reste révolution de Juillet royale Russie s'était sentiment serait session seul Société soldats sortir Thiers tiers-parti tion Titterie Tlemcen Tribune troupes trouver Tuileries vote
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ÇáÕÝÍÉ 630 - Anew. des croyants comme par le passé ; et, pour toutes les affaires, les cargaisons ne se feront pas autre part que dans ce port. Quant à Mostaganem et Oran, ils ne recevront que les marchandises nécessaires aux besoins de leurs habitants, et personne ne pourra s'y opposer. Ceux qui désirent charger des marchandises devront se rendre à la Mersa. 3° Le général nous rendra tous les déserteurs et les fera enchaîner.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Piémont, la France ne souffrirait à aucun prix une intervention des forces étrangères. Il en est d'autres à l'égard desquels, sans approuver cette intervention, elle peut ne pas s'y opposer , dans une circonstance donnée, d'une manière aussi absolue. C'est ce qu'on a pu voir lorsque l'armée autrichienne est entrée en Romagne. Ce qu'il faut en conclure, c'est que, chaque fois qu'une puissance étrangère occupera le territoire d'un autre état indépendant, nous nous croirons en droit de...þ
ÇáÕÝÍÉ 621 - Il l'avait reconnu lui-même, quand il avait annoncé à la France l'intention de secourir l'Italie contre l'Autriche, et de protéger contre la Russie la nationalité polonaise. Et cependant, malgré ses promesses formelles, malgré les intérêts anciens et nouveaux de la France, il a abandonné l'Italie à la domination de l'Autriche, et il a laissé périr la Pologne, cette Pologne que nous pouvions secourir, quoi qu'on en ait dit à la tribune, et que notre devoir était de sauver.þ
ÇáÕÝÍÉ 630 - A compter d'aujourd'hui , les hostilités cesseront entre les Français et les Arabes. 2° La religion et les usages des Musulmans seront respectés. 3" Les prisonniers français seront rendus. 4° Les marchés seront libres. 5° Tout déserteur français sera rendu par les Arabes. 6...þ
ÇáÕÝÍÉ 629 - Ah ! mon ami, la tradition révolutionnaire est » morte dans les cœurs! le peuple n'a pas senti » tout ce qu'il y avait de saint dans la mort de » Morey ! Le peuple a vu tomber cette tête blanche » sans frémir! le peuple a peut-être applaudi! » C'est ainsi que les Juifs raillèrent le Christ sur la » croix. Quand donc viendra le jour de la réha» bilitation ? » COPIE D'UNE LETTRE DE FIESCHI.þ
ÇáÕÝÍÉ 371 - ... sur son territoire, contre les états étrangers, il pourrait en résulter pour quelques-uns de ces états des troubles intérieurs qui les mettraient dans l'obligation de réclamer l'appui de leurs alliés ; que cet appui ne leur serait pas refusé, et que toute tentative pour s'y opposer serait envisagée, par les trois cabinets de Vienne, de SaintPétersbourg et de Berlin, comme une hostilité dirigée contre chacun d'eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 622 - Nous le proclamons avec une douloureuse et profonde conviction : que ce système se prolonge , et la révolution de juillet et la France sont livrées à leurs ennemis. La Restauration et la Révolution sont en présence ; la vieille lutte que nous avions crue terminée recommence.þ
ÇáÕÝÍÉ 622 - La France de 1830 a pensé, comme celle de 1789, que la royauté héréditaire, entourée d'institutions populaires, n'a rien d'inconciliable avec les principes de la liberté. Que le Gouvernement de juillet rentre donc avec confiance dans les conditions de son existence. Le monde entier sait ce que la révolution française apporte de puissance à ceux à qui elle se donne; mais elle veut qu'on se donne à elle sans retour, sans arrière-pensée.þ
ÇáÕÝÍÉ 163 - L'extension des droits politiques, » la réforme électorale, le suffrage universel, peu» vent être d'excellentes choses, mais comme moyens » seulement, non comme but. Ce qui est notre but, à » nous, c'est la répartition égale des charges et des » bénéfices de la société ; cest l'établissement complet þ
ÇáÕÝÍÉ 264 - L'instruction primaire élémentaire comprend nécessairement l'instruction morale et religieuse, la lecture, l'écriture, les éléments de la langue française et du calcul, le système légal des poids et mesures.þ