ÈÍË ÕæÑ ÎÑÇÆØ Google YouTube ÇáÃÎÈÇÑ Gmail Drive ÊÞæíã ÇáãÒíÏ »
ÊÓÌíá ÇáÏÎæá
ÇáßÊÈ ÇáßÊÈ
" On n'avait jamais entendu , jamais vu , jamais lu que , dans les » temps anciens, une telle multitude de gens fût morte : le mal semblait » provenir et de l'imagination et de la contagion; car, quand un sain » visitait un infirme, il était bien rare... "
Histoire des Français - ÇáÕÝÍÉ 91
ÈæÇÓØÉ Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1847
ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ

Histoire des Français (continuée depuis l'avénement de Louis xvi jusqu'à la ...

Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1828
...aisselles ou à l'aine , et dès qu'il se formoit , « c'étoit un signe infaillible de mort « On n'avoit jamais entendu, jamais vu, jamais « lu que , dans les temps anciens , une telle mul« titude de gens fût morte : le mal sembloit pro« venir et de l'imagination et de la contagion...

Histoire des Français, ÇáãÌáÏ 10

Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1828
...aisselles ou à l'aine , et dès qu'il se fprmoit , « c'étoit un signe infaillible de mort « On n'avoit jamais entendu, jamais vu, jamais « lu que , dans les temps anciens , une telle mul« titude de gens fût morte : le mal sembloit pro« venir et de l'imagination et de la contagion;...

Messager des sciences historiques: ou Archives des arts et de la ...

1835
...tout-à-coup aux aisselles ou à Vaine , et dès qu'il se formait , c'était un signe infaillible de mort. Le mal semblait provenir et de l'imagination et de la contagion ; car si un bien-portant visitait un malade, il était rare qu'il échappât, etc. » (i) II est vrai de...

Histoire des rivalités et des luttes de la France et de l ..., ÇáãÌáÏ 1

Albert Laponneraye - 1842 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 484
...et dès qu'il se formait, c'était un signe infaillible.» Plus loin le même écrivain ajoute : « Le mal semblait provenir et de l'imagination et de...dans beaucoup de lieux, sur vingt hommes, il n'en restait pas deux en vie : dans l'Hôtel-Dieu de Paris, la mortalité fut telle, que pendant longtemps...

Histoire de France: depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, ÇáãÌáÏ 5

Henri Martin - 1844
...le portait à la fosse ; sitôt qu'une tumeur se levait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu , jamais lu , que dans les temps passés une telle ment de ses calamités : c'était alors une époque éclatante , sinon heureuse ,...

Histoire de France, ÇáãÌáÏ 8

abbe Antoine Eugene de Genoude - 1846
...tout à coup aux aisselles ou a l'aine , et, des qu'il se formait , c'était un signe infaillible de mort... On n'avait jamais entendu , jamais vu , jamais...Dans beaucoup de lieux , sur vingt hommes il n'en restait pas deux envie. Dans l'Hôtel-Dieu de Paris, la mortalité fattelle, que pendant longtemps...

Histoire des Français, ÇáãÌáÏ 6

Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1847
...aujourd'hui, demain était porté à la fosse; un gonfle» ment paraissait tout à coup aux aisselles ou à l'aine, et dès qu'il se » formait, c'était un...temps anciens, une telle multitude de gens fût morte : lemal semblait » provenir et de l'imagination et de la contagion ; car, quand un sain » visitait...

Histoire de la Franche-Comté ancienne et moderne: précédée d'une description ...

Eugène Rougebief - 1851 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 695
...le portait à la fosse; sitôt qu'une tumeur s'élevait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que, dans les temps passés, une telle multitude de gens eussent péri : le mal, que les médecins nommaient épidémie,...

Histoire de la Franche-Comté ancienne et moderne: précédee d'une description ...

Eugène Rougebief - 1851 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 695
...le portait à la fosse; sitôl qu'une tumeur s'élevait à l'aine ou aux aisselles, on était perdu. On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que, dans les temps passés, une telle niullitudede gens eussent péri : le mal, que les médecins nommaient épidémie,...

Histoire de Paris depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, ÇáãÌáÏ 2

Amédée Gabourd - 1864
...jours; le plus souvent ils mouraient subitement, tandis qu'on les croyait encore sains et saufs... On n'avait jamais entendu, jamais vu, jamais lu que,...provenir et de l'imagination et de la contagion... Dans plusieurs villes et villages les prêtres s'éloignaient pour ne pas administrer les mourants...




  1. ãßÊÈÊí
  2. ãÓÇÚÏÉ
  3. ÈÍË ãÊÞÏã Ýí ÇáßÊÈ
  4. ÊäÒíá ÅÕÏÇÑ ÇáäÔÑ ÇáÅáßÊÑæäí
  5. ÊäÒíá PDF