Vies des pères des martyrs et des autres principaux saints: tirées des actes originaux et des monuments les plus authentiques, ÇáãÌáÏ 10Vanlinthout et Vandenzande, 1830 - 22 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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22 juillet abbé de Fontenelle Acta SS âme apôtres archevêque ariens Arsène avaient ayant bienheureux Bollandistes cathédrale catholiques célèbre chanoines charité choses chrétiens cœur comte concile confesseur Constantinople corps diocèse disciples discours divin donna ecclésiastiques écrits Edesse église Empereurs enfans enterré envoya Eusèbe fête frères gloire Gorcum Grecs Grégoire de Nysse Henri Hist hommes honoré Hunéric Jean Jean Gualbert Jésus Jésus-Christ jeûne jour Julii l'abbaye l'an l'église l'Empereur l'évêque larmes Loup de Troyes maison margrave martyrologe martyrs miracles monastère mort mourut Nisibe nommé Pape parens passa patriarche Paul pauvres pénitence Pepin père persécution personnes peuple piété premier prêtre prière prince prit reçut religieux religion reliques romain Rome s'était sacré saint Bonaventure saint Ephrem saint Eustathe saint évêque Saint Germain saint Jacques Saint Landon saint Vandrille sainteté Sauveur Seigneur sentimens servir serviteur de Dieu siècle siége souvent Strasbourg sur-tout Symphorose Tertullien Tillemont tion trouve vertu vierge Vincent Voyez zèle
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ÇáÕÝÍÉ 326 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges, leur vie et leur mort sont entre vos mains ; je m'en vais prendre les voix et les suffrages : il est temps de prononcar leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 326 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - L'exemple du Sauveur priant pour ses propres bourreaux , amollit la dureté de son cœur ; il tend la main au gentilhomme , puis lui dit avec douceur : « Je ne puis vous refuser ce que vous me demandez au » nom de Jésus-Christ. Je vous accorde non-seulement la » vie, mais même mon amitié. Priez Dieu de me pardonþ
ÇáÕÝÍÉ 393 - Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 342 - Le pieux cénobite se contenta de répondre à l'envoyé de l'empereur : « Je prie Dieu qu'il nous pardonne à tous nos péchés; quant à la distribution de l'argent, je ne suis point capable d'un tel emploi, étant déjà mort au monde. þ
ÇáÕÝÍÉ 418 - qui nous vient de la part de Dieu ; mais si vous êtes le » fléau avec lequel le Ciel nous châtie , souvenez-vous de » ne faire que ce qui vous est permis par la main touten puissante qui vous meut et vous gouverne.þ
ÇáÕÝÍÉ 326 - ... présent leurs juges, leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages : il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront, si vous continuez d'en prendre un charitable soin; et au contraire, ils mourront et périront infailliblement, si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.þ
ÇáÕÝÍÉ 152 - Orviète, le vint trouver à Florence, et voulut faire lui-même la cérémonie de son sacre. Il lui ordonna ensuite de se préparer à parler dans le concile général qui avait été convoqué à Lyon, pour la réunion des Grecs et des Latins, et principalement pour la délivrance de la terre sainte.þ
ÇáÕÝÍÉ 308 - Pâques, 24 avril 1576, dans le petit village de Poy, près de Dax, aux confins des landes de Bordeaux, vers les Pyrénées. Son père se nommait Guillaume de Paul, sa mère Bertrande de Moras. Ils faisaient valoir par euxmêmes une petite ferme qui leur appartenait en propre, et ils tiraient du travail de leurs mains de quoi subsister avec leur famille. Ils avaient six enfants, deux filles et quatre garçons. Vincent, qui était le troisième, fut employé comme les autres à travailler, particulièrement...þ
ÇáÕÝÍÉ 279 - Spanien , il se défit de ses haines particulières, oublia les injures qu'il avait reçues , au point que quand il eut été fait empereur, il dit à un de ses plus grands ennemis : « Vous n'avez plus rien à craindre présentement ! » 2* on jour qu'il passait, une femme se mit à crier : þ