| Henri Martin - 1844 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 752
...perd tout espoir de pénétrer les mystères de son essence et de l'essence divine ! Le sort du monde allait se jouer entre les Franks et les Arabes ! Les...: les Franks contemplaient, d'un œil surpris, ces myriades d'hommes bruns aux turbans blancs , aux burnous blancs , < Dieu ftl la femme et te reposa,... | |
| Henri Martin - 1855 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 576
...perd tout espoir de pénétrer les mystères de son essence et de l'essence divine! Le sort du monde allait se jouer entre les Franks et les Arabes ! Les...différence des physionomies, des armes, des costumes, dela tactique. Les Franks contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns aux turbans 1.... | |
| Henri Martin - 1855 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 578
...Barbares d'Austrasie ne soupçonnaient guère quelles destinées étaient confiées à leur épéc ; cependant un sentiment confus de la grandeur de la...différence des physionomies, des armes, des costumes, dela tactique. Les Franks contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns aux turbans 1.... | |
| HENRI MARTIN - 1855 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 574
...s'examinèrent avec haine et terreur : les deux armées, ou plutôt les deux mondes, s'isspiraient un étonnement réciproque par la différence des physionomies, des armes, des costumes, dela tactique. Les Franks contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns aux turbans 1.... | |
| Henri Martin (historien français) - 1855 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 570
...Durant sept jours, l'Orient et l'Occident s'examinèrent avec haine et terreur : les deux années, ou plutôt les deux mondes, s'inspiraient un étonnement...différence des physionomies, des armes, des costumes, delà lactique. Les Franks contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns aux turbans... | |
| Académie des sciences et belles-lettres d'Angers - 1865 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 996
...vingt-cinq ans auparavant entre les Franks et les Wisigoths , entre les ariens et les catholiques. Les barbares d'Austrasie ne soupçonnaient guère...des armes, des costumes, de la tactique : les Franks regardaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns, aux turbans blancs, aux burnous de même... | |
| Victor Jeanroy-Félix - 1888 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 496
...style ? Prenons une des pages les mieux réussies : il s'agit de la première bataille de Poitiers : « Durant sept jours, l'Orient et l'Occident s'examinèrent...physionomies, des armes, des costumes, de la tactique : les Francks contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns, aux turbans blancs avec burnous... | |
| Gustave Carré - 1894 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 648
...fois ils hésitèrent à attaquer. Bataille de Poitiers (732). — « ... Durant sept jours, I Orient et l'Occident s'examinèrent avec haine et terreur...mondes, s'inspiraient un étonnement réciproque... Les Francs contemplaient d'un œil surpris ces myriades d'hommes bruns, ^aux turbans, aux burnous hlancs,... | |
| I. Louis Gondal - 1906 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 260
...le signal de la bataille; les Arabes, de leur côté, pour la première fois parurent hésiter : « Durant sept jours, l'Orient et l'Occident s'examinèrent...physionomies, des armes, des costumes, de la tactique. Les Francs contemplaient, d'un œil surpris, ces myriades d'hommes bruns aux turbans blancs, aux burnous... | |
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