Origines du droit français cherchées dans les symboles et formulas du droit universel

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L. Hachette, 1837 - 452 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

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ÇáÕÝÍÉ 60 - Par un fils, un homme gagne les mondes célestes; par le fils d'un fils, il obtient l'immortalité ; par le fils de ce petit-fils, il s'élève au séjour du soleil.þ
ÇáÕÝÍÉ 440 - Toutes les fois que la déclaration de la vérité pourrait causer la mort d'un soùdra, d'un vaisya, d'un kchatriya ou d'un brahmane, lorsqu'il s'agit d'une faute commise dans un moment d'égarement, et non d'un crime prémédité, comme vol, effraction, il faut dire un mensonge; dans ce cas, le mensonge vaut mieux que la vérité. — Avec une maîtresse, avec une jeune fille que l'on recherche en mariage, ou bien lorsqu'il s'agit de nourrir une vache, de trouver du bois pour un sacrifice, ou de...þ
ÇáÕÝÍÉ lxxxviii - Debout, chers frères, au bord de la cristalline fontaine, amenez les hommes nouveaux qui, de la terre au rivage, viennent faire échange et commerce. Qu'ils naviguent ici, chacun battant la mer nouvelle, non de la rame mais de la croix, non de la main mais du sens, non du bâton mais du sacrement (1). Le lieu est petit, il est vrai, mais il est plein de grâce. Le Saint-Esprit a été dirigé- par un bon pilote. Prions donc, etc.þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - S'il voit une vache manger du grain dans une maison , un champ ou une grange appartenant soit à lui-même, soit à d'autres , qu'il se garde d'en rien dire , de même que lorsqu'il voit un jeune veau boire du lait.þ
ÇáÕÝÍÉ 417 - Lorsque le chef de famille voit sa peau se rider et ses cheveux blanchir, et qu'il a sous ses yeux le fils de son fils, qu'il se retire dans une forêt.þ
ÇáÕÝÍÉ 418 - Alors , ayant déposé en lui-même , suivant la règle, les feux sacrés, en avalant les cendres, qu'il n'ait plus ni feux domestiques, ni demeure, gardant le silence le plus absolu, vivant de racines et de fruits; 26.þ
ÇáÕÝÍÉ 159 - Comme elle est pâle, cette France ! ' . . . Elle a versé son sang pour vous.. . . — 'Qu'elle est pauvre!' Pour votre cause, elle a donné sans compter — Et n'ayant plus rien, elle a dit : ' Je n'ai ni or ni argent, mais ce que j'ai, je vous le donne.þ
ÇáÕÝÍÉ 401 - Et ensuite il doit entrer dans son habitation , et des quatre coins prendre en sa main de la terre , puis se tenir sur le seuil , regarder vers l'intérieur , et de la main gauche en lancer par-dessus les épaules sur son plus proche parent. Quand son père, sa mère ou son frère ont déjà payé pour lui , il jette de cette même terre sur la sœur de sa mère ou sur les fils de cette sœur 1 ; s'il n'ya point de tels parents , sur les plus proches du côté paternel ou maternel.þ
ÇáÕÝÍÉ 101 - Et enfin des substances de toutes sortes, que la terre ne corrode pas dans un laps de temps considérable, doivent être déposées dans des jarres, et cachées sous la terre à l'endroit des limites communes.þ
ÇáÕÝÍÉ xliii - ... c'était du blé, des bestiaux, des poules, pour le banquet seigneurial. Il y avait tel fief dont la redevance était un mai orné de rubans et paré de trois épis. Beaucoup de droits féodaux, qui nous révoltent, étaient probablement ceux dont le serf se plaignait le moins, parce qu'ils lui coûtaient peu. Telle est la fameuse obligation de battre l'eau la nuit, pour faire taire les grenouilles, lorsque le seigneur vient au manoir. Les gens de Roubaix devaient à certain jour battre l'eau...þ

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