Tableau historique de la littérature française aux XVe et XVIe siècles |
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ancienne antique avaient Balzac brillante Budée c'était Calvin caractère CHAPITRE Charles chercher chose commençait côté cour dernier devait Dieu dire donne doute éclatante écrit effet esprit expression facile faisait féodalité fond force formes française génie gloire goût grec hardi Henri heureux histoire hommes humain imitation inspirations jésuites jours l'amour l'antiquité l'Église l'éloquence l'esprit l'histoire laissé langue langue française latin lettres liberté libre littérature livre long-temps Louis XIV lui-même main ment mieux milieu monarchie monde Montaigne montre morale mots moyen âge n'en n'était nationale nature naturel nouveau nouvelle origines ouvrages parler Pascal Pasquier passé passions pensée péri peuple philosophie poésie poète Port Port-Royal pouvait premier préparé prince profonde prose puissance quelquefois Rabelais raison réforme règne religieuse religion reste révolution rien romans Rome Ronsard saint savans savante science seconde seizième siècle semble seulement sorte souvent style surtout tion tour tragédie traits trouve vérité vive vrai
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ÇáÕÝÍÉ 118 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.þ
ÇáÕÝÍÉ 251 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms. La pâle est...þ
ÇáÕÝÍÉ 251 - La pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur une brune adorable; La maigre a de la taille et de la liberté; La grasse est dans son port pleine de majesté...þ
ÇáÕÝÍÉ 235 - Épier si des vers la rime est brève ou longue ; Ou bien si la voyelle, à l'autre s'unissant, Ne rend point à l'oreille un vers trop languissant.þ
ÇáÕÝÍÉ 306 - Je ne puis pardonner à Descartes; il aurait bien voulu dans toute sa philosophie pouvoir se passer de Dieu , mais il n'a pu s'empêcher de lui faire donner une chiquenaude pour mettre le monde en mouvement ; après cela , il n'a plus que faire de Dieu'.þ
ÇáÕÝÍÉ 131 - Français, marchez courageusement vers cette superbe cité romaine : et des serves dépouilles d'elle (comme vous avez fait plus d'une fois) ornez vos temples et vos autels.þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - La terreur de son nom rendra nos villes fortes, On n'en gardera plus ni les murs ni les portes, Les veilles cesseront au sommet de nos tours ; Le fer, mieux employé, cultivera la terre ; Et le peuple, qui tremble aux frayeurs de la guerre, Si ce n'est pour danser, n'orra plus de tambours. Loin des mœurs...þ
ÇáÕÝÍÉ 279 - Ces dispositions et ces humeurs dont nous venons de parler, cette fièvre chaude de rébellion, cette léthargie de servitude viennent de plus haut qu'on ne s'imagine. Dieu est le poète, et les hommes ne sont que les acteurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 346 - PHILAMINTE. Elle a, d'une insolence à nulle autre pareille, Après trente leçons, insulté mon oreille, Par l'impropriété d'un mot sauvage et bas, Qu'en termes décisifs condamne Vaugelas.þ
ÇáÕÝÍÉ 363 - La chaire semblait disputer, ou de bouffonnerie avec le théâtre, ou de sécheresse avec l'école ; et le prédicateur croyait avoir rempli le ministère le plus sérieux de la religion, quand il avait déshonoré la majesté de la parole sainte en y mêlant , ou des termes barbares qu'on n'entendait pas , ou des plaisanteries qu'on n'aurait pas dû entendre.þ