Abrégé de l'histoire ancienne: en particulier de l'histoire grecque, suivi d'un Abrégé de la fable, a l'usage des élèves de l'ancienne École royale militaireChez Genets, 1813 |
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Achéens Agamemnon Agésilas Alcibiade Alexandre alloit Apollon appelé appeloit Aristide armes Athènes Athéniens auroit Avant J.-C avoient avoit ayant Bacchus bataille Béotie c'étoit célèbre cent ciel Cimon citoyens Cléomène combat connoître Corinthe d'Alexandre d'Athènes Darius déesse Démosthène devoient devoit Diane dieu dieux différens noms divinité Egypte Egyptiens enfans enfers ennemis étoient étoit faisoient faisoit femme fêtes fille fils firent fleuve fureur fut-il gloire gouvernement grecque Grecs guerre Hercule héros hommes ibid Jason jeux Junon Jupiter l'Asie l'Attique l'Egypte l'histoire l'île l'ouest LAMOTTE Laomédon ligue lois Lycurgue Macédoine Médée ment mille Miltiade monstre mort mourir n'avoit Neptune parcequ'il parceque Pâris patrie Pausanias Péloponnèse père Périclès Perses peuple Philippe Phocide Phocion Pirithoüs Pluton poëtes pouvoient pouvoit prêtres Priam prince rendoit rois s'appeloient Saturne secours Solon Sparte Spartiates statue sur-tout talens temple terre Thébains Thèbes Thémistocle Thessalie Thrace tion Troie tyran Ulysse venger Vénus victoire Xerxès
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ÇáÕÝÍÉ 73 - L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes ; Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté.þ
ÇáÕÝÍÉ 73 - Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage; La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté. Tout fuit; et, sans s'armer d'un courage inutile, Dans le temple voisin chacun cherche un asile.þ
ÇáÕÝÍÉ 77 - Forme autour d'eux nn affreux tourbillon ; II faut forcer leur fureur inhumaine A tracer sur la plaine un pénible sillon. Aussitôt du sein de la terre Tes yeux verront de toutes parts Sortir des escadrons épars, Qui se rassembleront pour te livrer la guerre. Ce n'est pas tout encore, un dragon furieux Fait dans ce lieu terrible une garde constante ; Jamais le doux sommeil n'approcha de ses yeux ; Rien ne saurait tromper sa fureur vigilante.þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Et qui de là porté dans tout son corps En fait mouvoir les horribles ressorts : Son front jaloux et ses lèvres éteintes Sont le séjour des soucis et des craintes : Sur son visage habite la pâleur ; Et dans son sein triomphe la douleur , Qui sans relâche à son âme infectée Fait éprouver le sort de Prométhée.þ
ÇáÕÝÍÉ 110 - Et qu'une lumière divine Pût jamais être l'origine D'un déplorable aveuglement ? Lorsqu'à l'époux de Pénélope Minerve accorde son secours, Les Lestrigons et le Cyclope Ont beau s'armer contre ses jours : Aidé de cette intelligence , II triomphe de la vengeance De Neptune en vain courroucé ; Par elle il brave les caresses Des Sirènes enchanteresses , Et les breuvages de Circé. De la vertu qui nous conserve C'est le symbolique tableau : Chaque mortel a sa Minerve , Qui doit lui servir de...þ
ÇáÕÝÍÉ 56 - L'axe des temps pour lui seul est fixé. Sous une voûte où l'acier étincelle, Est enfoncé le trône du destin : Triste barrière, et limite éternelle, Inaccessible à tout l'effort humain! Morne , immobile , et dans soi recueillie, C'est de ce lieu que...þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - Au superbe festin tous les dieux invités, Partageaient le bonheur des époux enchantés. La main de la Discorde, entr'ouvrant un nuage, Du désordre prochain fait briller le présage : Elle tient un fruit d'or, où ces mots sont écrits : Le sort à la plus belle a réservé ce prix. On sait quel fut le trouble entre les immortelles, Qui toutes prétendaient à l'empire des belles ; Et qu'enfin Jupiter, qui n'osa les juger, Fit dépendre ce droit de l'arrêt d'un berger.þ
ÇáÕÝÍÉ 86 - Ne laissaient dans ces murs que des bouches muettes. Mais comme aux grands périls le salaire enhardit, Le peuple offre le sceptre, et la reine son lit; De cent cruelles morts cette offre est tôt suivie : J'arrive, je l'apprends, j'yjiasarde ma vie.þ
ÇáÕÝÍÉ 26 - Dans son rapide essor, Uranie à nos yeux Dévoile la nature et les secrets des dieux. Des empires divers Clio chante la gloire , Des rois , des conquérans assure la mémoire. Calliope , accordant la lyre avec la voix , Eternise en ses vers d'héroïques exploits. D'un spectacle agréable employant l'artifice , Thalie, en badinant, sait démasquer le vice. Melpomène avec pompe étalant ses douleurs , Kous charme, en nous forçant de répandre des pleur;.þ
ÇáÕÝÍÉ 30 - L'allégresse qu'il leur envoie; Et , plein d'une douce chaleur, Montre-toi rival de leur joie , Comme tu l'es de sa valeur. Prends part à la juste louange De ce dieu si cher aux guerriers , Qui , couvert de mille...þ