Étude politique M. le comte de Chambord: correspondance de 1841 á 1871Grosset et Trembley, 1871 |
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14 Novembre 22 Janvier affection bien sincère Alfred Nettement amis avez batailles de l'Alma besoin bonheur charmé cher Berryer cher Duc cher Général chère patrie chrétienne Comte de Chambord comte de Salvandy Comte de Villèle concours consolation constante affection croyez décentralisation devoir dévouer tout entier dévoûment Dieu dire moi-même douloureuse sympathie Duc de Lévis esprits estime famille félicite fidèle Frohsdorf garanties gloire glorieux gouvernement heureux J'ai lu J'ai reçu J'apprends j'en j'éprouve jour juste justice l'autorité l'Eglise Latour-Maubourg lettre Louis XVIII Madame malheur qui vient ment monarchie Monsieur le Comte nobles cœurs nouvelle assurance occasion Paul Andral pays pensée plaisir politique pouvoir preuve principes prospérité Providence puisse questions rance Recevez vous-même regrets remercie remercier moi-même royauté sainte cause savez sentiments bien sincères sera service seul sincère affection sincère et constante social société souf Soyez tion triste circonstance utile venez véritable veux vous dire Vicomte vif intérêt vive gratitude vœux zèle
مقاطع مشهورة
الصفحة lix - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses Concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve. Qu'il ne peut faire le bonheur des Peuples qu'en régnant suivant les Lois...
الصفحة lix - ... faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
الصفحة lix - ... que j'éprouve, qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois, mais en même temps qu'un Roi ne peut...
الصفحة lxiii - Les maximes qu'il a fortement à cœur et que vous avez rappelées à la tribune, l'égalité devant la loi, la liberté de conscience, le libre accès pour tous les mérites à tous les emplois, à tous les honneurs, à tous les avantages sociaux, tous ces grands principes d'une société éclairée et chrétienne me sont chers et sacrés comme à vous, comme à tous les Français.
الصفحة 245 - Sully, pour épigraphe , cette belle parole : Le labourage et le pâturage sont les deux mamelles de la France, a paru digne à votre commission d'une mention honorable. La première partie ne se rattache que très-indirectement à la question. Il semble inutile , en effet, de prouver que l'agriculture a été le premier des arts auxquels l'homme se soit livré et qu'elle est la vraie base de la richesse et...
الصفحة 130 - Je maintiens donc mon droit qui est le plus sûr garant des vôtres, et, prenant Dieu à témoin, je déclare à la France et au monde que fidèle aux lois du royaume et aux traditions de mes aïeux, je conserverai religieusement...
الصفحة 206 - Français, vous voulez la monarchie, vous avez reconnu qu'elle seule peut vous rendre avec un gouvernement régulier et stable cette sécurité de tous les droits, cette garantie de tous les intérêts, cet accord permanent d'une autorité forte et d'une sage liberté qui fondent et assurent le bonheur des nations. Ne vous livrez pas à des illusions qui tôt ou tard vous seraient funestes. Le nouvel empire qu'on vous propose ne saurait être cette monarchie tempérée et durable, dont vous...
الصفحة 20 - ... et expliquera mieux que toute autre chose le but de mon voyage. Je serai heureux et fier de montrer auprès de moi un homme dont le nom est une des gloires de la France, et qui l'a si noblement représenté dans le pays que je vais visiter.
الصفحة 130 - On ne rétablit pas la sécurité en ébranlant le principe sur lequel repose le trône, et on ne consolide pas tous les droits en méconnaissant celui qui est parmi nous la base nécessaire de l'ordre monarchique.
الصفحة 107 - Providence m'appelle à régner un jour, je ne serai pas le roi d'une seule classe, mais le roi ou plutôt le père de tous. Partout et toujours je me suis montré accessible à tous les Français sans distinction de classes et de conditions. Je les ai tous vus, tous écoutés, tous admis à se presser autour de moi. Vous en avez été vous-même le témoin. Comment après cela pourrait-on encore me soupçonner de ne vouloir être que le roi d'une caste privilégiée, ou, pour employer les termes...