Observations et mémoires sur la physique, sur l'histoire naturelle et sur les arts et métiers, ÇáãÌáÏÇÊ 42-43 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
acide ainſi animaux aſſez auſſi avoit baromètre béril blanche bourgeons c'eſt calcaire canaux cauſe chaleur charbon chaux colonne corps côté couches couleur criſtalliſation criſtaux d'après d'autres d'eau degré dernier déterminer différentes dire diſſolution doit donne doute eaux effet également élévation employé enfin enſuite eſpèce eſt étoit expériences fans feuilles fixe fleuve foie fond font force forme froid général hauteur heur intervalles j'ai jour juſqu'à l'acide l'air l'auteur l'eau l'un lieu lign liqueur lorſque manière marin matière Mémoire meſure mois montagnes moyen n'eſt nature noix de galle nombre nouvelle obſervations opération ordinaire parler paroît particulier pendant petite phénomènes pieds pierres place plaines pluie pluſieurs porte pouc première primitifs produit qu'une quantité quatre rapport remarque rien s'eſt ſans ſe trouve ſera ſes ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſubſtances ſur ſurface température tems terre terreins traité trouve vallées voit XLII
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 296 - Ceci nous explique un phénomène qu'on obferve conftamment dans toutes les grandes montagnes. Chacune de ces chaînes a un point granitique principal , comme nous l'avons vu. Or , l'on obferve dans toutes les montagnes des terreins fecondaires qui environnent ce point central , que leurs couches fe relèvent vers ce point central , de manière qu'elles deviennent quelquefois prefque verticales, en s'appuyant fur cette maflè.þ
ÇáÕÝÍÉ 440 - La tourbe paroît compofée d'une terre fpongieufe ; ferrugineufe, telle qu'elle fe trouve dans les terreins humides & mouvans , mélangée avec une plus ou moins grande quantité de racines , de plantes, de feuilles , & peut-être de débris d'animaux : la bonté de la tourbe dépend de la proportion de ces différens •principes & de leur nature., . , . La tourbe fe trouve en grande quantité dans tous les lieux marécageux.þ
ÇáÕÝÍÉ 157 - Arts utiles & agréables ; la defcription & la figure des nouvelles machines , des inftruraens qu'on peut y employer , d'après les expériences des Auteurs qui les ont imaginées ; des recettes , pratiques , procédés , médicamens nouveaux , externes...þ
ÇáÕÝÍÉ 470 - Auteurs font priés de ne fe point faire connoître, mais de mettre une devife à la tête du Mémoire , & d'y joindre un billet cacheté avec la même devife , qui contiendra leur nom & le lieu de leur réfidence.þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - ... montagnes ; et encore aujourd'hui, sous la domination des Perses, on a une attention particulière à ce même coude du Nil , dont les eaux , retenues par les digues , coulent d'un autre côté, et on a soin de les fortifier tous les ans. En effet , si le fleuve venait à les rompre et à se répandre de ce côté-là dans les terres , Memphis risquerait d'être entièrement submergée.þ
ÇáÕÝÍÉ 376 - ... couvercle de fayence du diamètre du pot, on use les bords comme on l'a fait à l'égard du pot jusqu'à ce qu'il soit bien dressé , et qu'il s'applique bien immédiatement sur les parois du pot, assez pour ne laisser couler ni eau ni alcoo], On dispose de la même manière autant de pois et dç couvercles qu'on juge à propos.þ
ÇáÕÝÍÉ 400 - ... enfin l'expérience a prouvé qu'elle étoit moins bonne pour les opérations de la teinture.' Dans le nombre des propriétés qui appartiennent à ces deux noix de galle , & généralement à toutes les efpèces, il en eft une bien remarquable , qui a toujours fixé l'attention des chimiftes , c'eft celle de précipiter la folution des fubftances falines ferrugineufes.þ
ÇáÕÝÍÉ 371 - On met dans l'intérieur d'efpace en efpace entre deux tafleaux, des cloifons à codifies amovibles afin de former des cafés proportionnées à la quantité de cocons qu'on veut éteindre à la fois. Ces proportions font dans le fait fort indifférentes ; mais elles font celles que l'expérience m'a appris être les plus commodes dans la pratique. : D'une autre part , on fe procure un...þ
ÇáÕÝÍÉ 382 - ANNALES dans la partie inférieure de cette S on passe une broche de fer qu'on fait entrer dans un des trous de la platine correspondante au boulon [qui porte la bobine. On force un peu de la main pour prendre le trou le plus bas de ceux qui se présentent vis-à-vis de la broche. Lorsque la machine est garnie des deux côtés, on fait descendre les deux vis également avec une clef, jusqu'à ce que la traverse soit baissée de neuf lignes, la soie est suffisamment tendue , on pourroit la tendre...þ
ÇáÕÝÍÉ 35 - Température de ce mois dans les années de la période lunaire de I<> ans correfpondante à celle-ci. Quantité de pluie à Paris , en 1716, 2^þ