...commence ou un vieil attachement qui finit ? N'importe : c'est l'amour qui meurt avant l'objet aimé. Vive les romans en lettres et sans lettres, où les sentimens...choses humaines : il arrive quelquefois que dans une ame forte, un amour dure assez pour se transformer en amitié passionnée, pour devenir un devoir,...

...l'amour qui meurt avant l'objet aimé. Vive les romans en lettres et sans lettres , où les sentimeus ne se détruisent que par la violence , où ils ne...choses humaines : il arrive quelquefois que dans une ame forte, un amour dure assez pour se transformer en amitié passionnée, pour devenir un devoir,...

...feu. Qu'est-il survenu ? Est-ce un nouvel attachement qui commence, ou un vieil attachement qui finit? N'importe : c'est l'amour qui meurt avant l'objet...choses humaines : il arrive quelquefois que dans une ame forte , un amour dure assez pour se transformer en amitié passionnée , pour devenir un devoir...

...aimé. Vivent les romans en lettres et sans lettres , où les sentimens ne se détruisent que parla violence, où ils ne cèdent jamais à ce travail...choses humaines : il arrive quelquefois que dans une ame forte , un amour dure assez pour se transformer en amitié passionnée , pour devenir un devoir...

...caché ; fièvre du •• temps, qui produit la lassitude, dissipe l'illusion, mine nos pas« sions et change nos cœurs , comme elle change nos cheveux et « nos années. » (Liv. III, p. 220.) — Étrange dissertation en vérité, qu'on ne rencontre pas sans en être...

...exposés à l'effet d'un travail caché; fièvre du temps qui produit la lassitude, dissipe l'illusion, mine nos passions, fane nos amours' et change nos...et nos années. Cependant il est une exception à celte infirmité des choses humaines : il arrive quelquefois que dans une âme forte un amour dure...

...d'un travail caché ; fièvre du temps qui produit la lassitude, dissipe l'illusion, mine nos passions et change nos cœurs, comme elle change nos cheveux et nos années. POÉSIES1 l/ AMOUR DE LA CAMPAGNE3 Que de ces prés l'émail plaît à mon cœur! Que de ces bois l'ombrage...