La revue Lyonnaise, المجلد 4Mougin-Rusand., 1882 |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
anciens antiques Archives de Lyon armurier artistes avaient Bachereau beati Beauclair belle Bellièvre Bibliothèque Brölemann Claude Claude de Bellièvre Cleberger Clément de Ris Clermont côté de l'Empire côté du Royaume demeurait du côté donne dorier Dürer Étienne félibres félibrige femme fille fleurs Fourvière Golnitz gravure grosse cloche histoire histoire de Lyon homme inscriptions Item reliquie j'ai Jacques Morel Jean jour juifs l'Académie l'auteur l'église l'empereur l'histoire l'hôtel laissé Langes littéraire livre Louis Lugdunum Maine de Biran maison Mary Lafon médailles Ménestrier ment Metternich Minghetti Mistral Monfalcon monuments Morin mort Musée de Lyon Napoléon œuvre orfèvre Oscar ouvrages Paradin parler passé Peiresc philosophie Pierre place poète Pontaumur Pontgibaud porte premier président provençal Provence publié Puy-de-Dôme quatorzième siècle reste Revue lyonnaise Rhône romaine roses saint Saint-Just savant science Séance seigneur seizième siècle serait seulement Société sonnerie sorte Spon statue tableau tion trouve verrier Voingt Wyse
مقاطع مشهورة
الصفحة 345 - ... l'empereur Napoléon n'écoute, dans les circonstances du moment, que la voix de la raison, s'il cherche sa gloire dans le bonheur d'un grand peuple, en renonçant à sa marche politique antérieure, l'empereur arrêtera de nouveau avec plaisir sa pensée au moment où il lui a confié son enfant de prédilection ; si un aveuglement funeste devait rendre l'empereur Napoléon sourd au vœu unanime de son peuple et de l'Europe, il déplorera le sort de sa fille, sans arrêter sa marche.
الصفحة 63 - Les divers caractères des ouvrages historiques, avec le plan d'une nouvelle histoire de la ville de Lyon...
الصفحة 295 - Thimethelie , ou censure des femmes, satyre seconde en laquelle sont amplement descrites les maladies qui arrivent ordinairement à ceux qui vont trop souvent à l'escarmouche, soubs la cornette de Venus.
الصفحة 433 - ... de Saint- Saturnin de Séchaud , morte à soixante-dix ans, le 22 septembre 1740, et mourut le 10 janvier 1743; 2° une fille, Françoise de Beauchamps, qui, le 2 novembre 1698, à Bussac, épousa Biaise de Gascq, chevalier, seigneur de Préguillac, Mazotte, la Guérenne, Saint-Antoine et Chassac, conseiller du roi, président et lieutenant général en la sénéchaussée et siège présidial de Saintes.
الصفحة 184 - Il demeurait à Paris de 1396 à 1401, et était alors orfèvre de la reine Isabeau de Bavière. Cette princesse aimait les beaux livres, et Clerbourg a été employé par elle à les orner de « tissuz de soie », de fermoirs d'or armoiries, etc. « A Jehan Clerbourg, orfèvre de la Royne, demeurant à Paris..., le xvij...
الصفحة 32 - Partout, répondit le paria :\ma pagode, c'est la nature; ^j'adore son auteur au lever du soleil , et je le bénis à son coucher. Instruit par le malheur, jamais je ne refuse mon secours à un plus malheureux que moi. Je tâche de rendre heureux ma femme , mon enfant , et même mon chat et mon chien.
الصفحة 362 - En un mot , la seule preuve dont cette vérité soit susceptible est analogue à celle de l'existence des corps ; des êtres réellement libres n'auraient pas un sentiment plus vif de leur liberté que celui que nous avons de la nôtre : nous devons donc croire que nous sommes libres.
الصفحة 289 - Femme, si ton esprit allier et volage pouvoit cognoistre le sort de ta misère et la vanité de ta condition, tu fuirois la lumière du soleil, chercherois les ténèbres , entrerois dans les grottes et cavernes...
الصفحة 376 - Gadagne (Vaucluse), pour concerter dans un banquet d'amis la restauration de la littérature provençale. Au dessert on posa les bases de cette palingénésie et on chercha un nom pour en désigner les adeptes. On le trouva dans une poésie légendaire que M. Mistral avait recueillie à Maillane, poésie qui se récite encore en guise de prière dans certaines familles du peuple.
الصفحة 376 - Dieu i8fj, adoubea e publica de la man di félibre, annonça à la Provence, au Midi et au monde que les rénovateurs de la littérature provençale s'intitulaient félibres1.