| Ambrosius Aurelius Theodosius Macrobius - 1827 - عدد الصفحات: 524
...général, a De là , étendant mes regards sur l'univers , j'étais émerveillé de la majesté des objets. J'admirais des étoiles que , de la terre où nous sommes, nos yeux n'aperçurent jamais. C'était partout des distances et des grandeurs dont nous n'avons jamais pu nous douter. La plus petite... | |
| Ambrosius Aurelius Theodosius Macrobius - 1827 - عدد الصفحات: 530
...lui. Il reconnaît alors la cause qui s'était opposée à ce qu'il les découvrît précédemment: «J'admirais des étoiles que, de la terre où nous sommes, nos yeux n'apercurent jamais,» dit-il à ses amis. Voyons maintenant ce que signifient ces expressions : «C'était... | |
| Marcus Tullius Cicero, Abel François Villemain - 1858 - عدد الصفحات: 512
...côtés mes regards, je voyais dans le reste du monde des choses grandes et merveilleuses : c'étaient des étoiles que , de la terre où nous sommes, nos yeux n'aperçurent jamais ; c'étaient partout des distances et des grandeurs, que nous n'avions point soupçonnées. La plus... | |
| Marcus Tullius Cicero, Abel François Villemain - 1858 - عدد الصفحات: 512
...côtés mes regards, je voyais dans le reste du monde des choses grandes et merveilleuses : c'étaient des étoiles que, de la terre où nous sommes , nos yeux n'aperçurent jamais ; c'étaient partout des distances et des grandeurs, que nous n'avions point soupçonnées. La plus... | |
| Charles Dollfus - 1872 - عدد الصفحات: 618
...côtés mes regards, je voyais dans le . reste du monde des choses grandes et merveilleuses : c'étaient des étoiles que de la terre où nous sommes nos yeux n'aperçurent jamais ; c'étaient pourtant des distances et des grandeurs que nous n'avions point soupçonnées. La plus... | |
| Marcus Tullius Cicero - 1878 - عدد الصفحات: 634
...côtés mes regards, je voyais dans le reste du monde des choses grandes et merveilleuses : c'étaient des étoiles que, de la terre où nous sommes , nos yeux n'aperçurent jamais; c'étaient partout des distances et des grandeurs, que nous n'avions point soupçonnées. La plus petite... | |
| Alfred Fouillée - 1899 - عدد الصفحات: 616
...côtés mes regards, je voyais dans le reste du monde des choses grandes et merveilleuses : c'étaient des étoiles que, de la terre où nous sommes, nos yeux n'aperçurent jamais; c'étaient partoutdes distances et des grandeurs que nous n'avions point soupçonnées. La plus petite... | |
| |