...vous vous exprimez fur leur •fujet. Je ne les ai point protégés tant qu'ils ont été puiffans; dans leur malheur je ne vois en eux que des gens de...bien de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeunefle. C'eft cet objet précieux qui me les rend néceflaires , parce que de tout le clergé catholique...

...d'un vrai sage ! Que diroient les pauvres » jésuites, s'ils apprenoient comme dans vofcre let» tre vous vous exprimez sur leur sujet ? Je ne » les ai point protégés, tant qu'ils ont été puissans; » dans leurs malheurs, je ne vois eu eux que des >> gens de lettres qu'on aura bien de la...

...ai point protégés, lit-on dans cette lettre, tant qu'ils ont été puissants ; dans leur malbeur, je ne vois en eux que des gens de lettres qu'on aurait de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeunesse. C'est cet objet précieux qui me les rend...

...correspondance avec les philosophes. 11 écrivit à d'Alemhert : « Je n'ai point protégé « les jésuites tant qu'ils ont été puissants; dans « leur malheur,...cet objet « précieux qui me les rend nécessaires, parce que « de tout le clergé catholique du pays , il n'ya « qu'eux qui s'appliquent aux lettres;...

...correspondance avec les philosophes. Il écrivit à d'Alembert : « Je n'ai point protégé « les jésuites tant qu'ils ont été puissants; dans « leur malheur,...l'éducation de la jeunesse. C'est cet objet «précieux qui mêles rend nécessaires, parce que «de tout le clergé catholique du pays, il n'ya « qu'eux qui...

...Etats aux religieux proscrits. Il écrivait à d'Alembert: « Je n'ai point protégé les Jésuites tant qu'ils ont été puissants ; dans leur malheur...des gens de lettres qu'on aurait bien de la peine a remplacer pour l'éducation de la jeunesse. C'est cet objet précieux qui me les rend nécessaires,...

...le cœur des vrais sages ? diraient les pauvres Jésuites, s'ils apprenaient comme dans vos lettres vous vous exprimez sur leur sujet. Je ne les ai point...malheur, je ne vois en eux que des gens de lettres (I) ITAlembert au roi de Pruwe (23 avril 1774), tom. XVII, p»g. 388, qu'on aurait bien de la peine...

...correspondance avec les philosophes ; il écrivit à d'Alembert : « Je n'ai point protégé les jésuites tant » qu'ils ont été puissants ; dans leur malheur,...» de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeu» nesse. C'est cet objet précieux qui me les rend néces» saires, parce que de tout le clergé...

...déterminassent à solliciter de lui quelques Jésuites. Frédéric lui répond, le quinze mai 1774 : « Tant de fiel entre-t-il dans l'âme d'un vrai sage?...des gens de lettres qu'on aurait bien de la peine à rem* placer pour l'éducation de la jeunesse. C'est cet objet précieux qui me les rend nécessaires,...

...princes, encouragés par son exemple, ne vinssent à lui en demander pour ensemencer leurs Etats : « Je ne vois en eux que des gens de lettres qu'on aurait bien dela peine à remplacer pour l'éducation de la jeunesse. C'est cet objet précieux qui me les rend...