Historie du procès de Louis XVI. |
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ÇáÕÝÍÉ 451 - Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi , et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union ; comme elle peut être/ sûre que je ne garde rien contre elle , si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.þ
ÇáÕÝÍÉ 93 - ... l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il le détruisit ; le peuple demandait l'abolition de la servitude : il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent...þ
ÇáÕÝÍÉ 29 - Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre : je cherche parmi vous des juges, et je n'y vois que des accusateurs. • . Vous voulez prononcer sur le sort de Louis ; et c'est vous-mêmes qui l'accusez!þ
ÇáÕÝÍÉ 95 - ... dernière fois je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que...þ
ÇáÕÝÍÉ 453 - Desèze, de recevoir ici tous mes remerciements, et l'expression de ma sensibilité, pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi. « Je finis en déclarant devant Dieu, et prêt à paraître devant lui, que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 438 - Je recommande à la bienfaisance de la nation toutes les personnes qui m'étaient attachées : il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur fortune dans leurs charges, et qui, n'ayant plus d'appointements, doivent être dans le besoin , ainsi que d'autres qui ne.þ
ÇáÕÝÍÉ 93 - Entendez d'avance l'histoire, qui redira à la renommée: Louis était monté sur le trône à vingt ans, et à vingt ans il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable ni aucune passion corruptrice; il fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.þ
ÇáÕÝÍÉ 449 - Catholique, donnent et donneront, conformément à la discipline de l'Eglise, suivie depuis JésusChrist. Je plains de tout mon cœur nos frères qui peuvent être dans l'erreur, mais je ne prétends pas les juger, et je ne les aime pas moins tous en JésusChrist, suivant ce que la charité chrétienne nous enseigne.þ
ÇáÕÝÍÉ 415 - Si l'amour de mon pays m'a fait endurer le malheur d'être le collègue des panégyristes et des promoteurs des assassinats du 2 septembre, je veux au moins défendre ma mémoire du reproche d'avoir été leur complice ; et je n'ai pour cela qu'un moment, celui-ci ; demain il ne sera plus temps.þ
ÇáÕÝÍÉ 468 - Constitution soit suffisante pour réparer un seul des maux qui affligent le royaume : le roi, après avoir solennellement protesté contre tous les actes émanés de lui pendant sa captivité, croit devoir mettre sous les yeux des Français et de tout l'univers le tableau de sa conduite, et celui du gouvernement qui s'est établi dans le royaume.þ