Annuaire historique du departement de l'Yonne, ÇáãÌáÏ 4Ch. Milon, 1840 |
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Ancy-le-Franc années Appoigny Arcy-sur-Cure Arrondissement Arrondissement d'Auxerre Arrondissement d'Avallon Auxerre avaient Avallon bailli baron Bléneau bourgeois Brienon canton canton de Chéroy capitaine Cerisiers César de Chastellux Chablis chanoines Chapitre Charles Charny charte château de Druyes Châtel-Censoir Chemilly Chéroy chevaliers Claude de Chastellux commune Compagnie comte César comte de Chastellux comtesse conseil Courson Cravan Cravant Cruzy culture curé d'Appoigny d'Auxerre d'Avallon dame Docteurs en médecine doyen Druyes duc de Bourgogne Duval échevins époque Flogny guerre Gurgy habitants hommes idem jeudi Joigny jour justice l'Arquebuse l'église l'évêque l'Yonne ladite lettres-patentes Ligny livres Louis lundi maire maison maréchal matin ment Montacher mort municipal Nevers Noyers Officiers de santé passé payer Pierre Pont-sur-Yonne porte prairies Préfet prince produits Quarré-les-Tombes receveur Régennes reste royale Saint Saint-Fargeau Saint-Florentin Saint-Valérien Seignelay seigneur Sens Sergines siècle sieur sire de Chastellux soir sols St.-Florentin tellux terre territoire tion Tonnerre Toucy tour Vermenton Vézelay vignes Villeneuve-le-Roi vins
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ÇáÕÝÍÉ 10 - J.-C., ou vers le i" juillet de l'an 3g38 de la période julienne. 2633 de la fondation de Rome, selon Varron. 2627 depuis l'ère de Nabonassar, fixée au mercredi 26 février de l'an 3967 de la période julienne, ou 747 ans avant J.-C. selon les chronologistes, et 746 suivant les astronomes.þ
ÇáÕÝÍÉ 200 - Jésus-Christ s'abstiennent de porter des habits précieux, de soigner leur parure, d'emmener avec eux des chiens de chasse, des faucons, et rien de ce qui peut amollir des guerriers. Nous les avertissons, au nom du Seigneur, qu'ils ne doivent s'occuper que de leurs chevaux de bataille, de leurs armes, de tout ce qui peut servir à combattre les infidèles.þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - ... merveille avec la pauvreté de leurs cabanes. Les haillons dont ils étaient couverts, la pâleur de leur visage, leurs yeux livides et abattus, leur maintien languissant, morne et engourdi, la nudité et la maigreur de quantité d'enfants que la faim desséchait, et que je voyais dispersés parmi les haies et les buissons pour y chercher certaines racines qu'ils dévoraient avec avidité; tous ces affreux symptômes d'une calamité publique m'épouvantèrent et me causèrent une extrême aversion...þ
ÇáÕÝÍÉ 201 - Enfin, l'Église, dont il était la lumière, semblait recevoir les volontés divines par son entremise. Les rois et leurs ministres, à qui il ne pardonnait jamais ni un vice, ni un malheur public, s'humiliaient sous ses réprimandes comme sous la main de Dieu même; et les peuples , dans leurs calamités, allaient se ranger autour de lui, comme ils vont se jeter au pied des autels.þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - ... lieu de bourlées, deux grandes oreilles si larges que quand elles vouloient passer l'huis d'une chambre, il falloit qu'elles se tournassent de côté et baissassent.þ
ÇáÕÝÍÉ 199 - Français ; a ses chers fils les princes , et à tous les fidèles du royaume de France , salut et bénédiction apostolique. » Nous savons, par l'histoire des temps passés et par les traditions de nos pères, combien nos prédécesseurs ont fait d'efforts pour la délivrance de l'église d'Orient. Notre prédécesseur Urbain , d'heureuse mémoire , a embouché la trompette évangélique, et s'est occupé , avec un zèle sans exemple, d'appeler les peuples chré'iens de toutes les parties du monde...þ
ÇáÕÝÍÉ 201 - Ovide, qui peut<-tre lui avait laissé quelque empreinte de la mobilité de son esprit, et de son extrême habileté à reproduire une même pensée sous des aspects divers. L'abbé de Clairvaux, toujours plus occupé d'affaires que d'études, ne fut pas l'homme le plus savant de son siècle ; mais toutes ses connaissances étaient précises et disponibles : sa mémoire, qu'il aurait pu enrichir davantage, avait du moins cette heureuse vivacité qui rend à chaque instant évocables , ou pour ainsi...þ
ÇáÕÝÍÉ 185 - François sur la vie de leurs princes adorés. Je fus aussi le premier témoin de votre heureux succès : avec quelle satisfaction, je vous vis arriver de la campagne, portant les impressions récentes qui ne me parurent que des stigmates de...þ
ÇáÕÝÍÉ 218 - Je ne pus m'empêcher de le considérer comme l'arsenal où avaient été forgés tous les foudres qui, sous le nom d'édits bursaux, avaient désolé ma patrie, et m'avaient réduit plus d'une fois à implorer la mort pour être délivré de la nudité, de la faim et de toutes les misères qui en résultent, de sorte que je quittai ce palais avec autant de plaisir que d'autres ont de peine à s'en éloigner.þ
ÇáÕÝÍÉ 188 - B quelque membre d'un Apollon antique, ne vous inquiétez pas des » autres parties, et soyez sûr que tout le reste est d'un Dieu. Que cette » comparaison ne soit pas attribuée à l'enthousiasme : je ne veux rien » exagérer ; je veux exprimer seulement...þ