L'état de notre malade empirait toujours ; le vent pleurait dans le ravin, la pluie battait nos vitres, la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa note lugubre au milieu des rires et des jeux des enfants. Les aigles et les... Œuvres - الصفحة 161بواسطة George Sand - 1867عرض كامل - لمحة عن هذا الكتاب
| George Sand - 1842 - عدد الصفحات: 534
...empirait toujours, le vent pleurait dans le ravin, la pluie battait nos vitres , la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa...remplissait ma fenêtre. La mer furieuse retenait les vertu des titres à ceux concêdes par les chevaliers. Ainsi le paysan , qui trouve peut-être son... | |
| George Sand - 1843 - عدد الصفحات: 372
...empirait toujours ; le vent pleurait dans le ravin , la pluie battait nos vitres , la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa...prisonniers , loin de tout secours éclairé et de tonte sympathie efficace. La mort semblait planer sur nos têtes pour s'emparer de l'un de nous, et... | |
| George Sand - 1867 - عدد الصفحات: 474
...empirait toujours ; le vent pleurait dans le ravin, la pluie battait nos vitres, la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa...éclairé et de toute sympathie efficace. La mort ssmblait planer sur nos têtes pour s'emparer de l'un de nous, et nous étions seuls à lui disputer... | |
| George Sand - 1869 - عدد الصفحات: 464
...empirait toujours ; le vent pleurait dans le ravin, la pluie battait nos vitres, la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa...sympathie efficace. La mort semblait planer sur nos têtes pour s'emparer de l'un de nous , et nous étions seuls à lui disputer sa proie. Il n'y avait... | |
| 1841 - عدد الصفحات: 1250
...nos épaisses murailles et venait jeter sa note lugubre an milieu des rires et des jeux des enfans. Les aigles et les vautours, enhardis par le brouillard,...sympathie efficace. La mort semblait planer sur nos têtes pour s'emparer de l'un de nous, et nous étions seuls à lui disputer sa proie. Il n'y avait... | |
| 1841 - عدد الصفحات: 976
...empirait toujours, le vent pleurait dans le ravin, la pluie battait nos vitres, la voix du tonnerre perçait nos épaisses murailles et venait jeter sa note lugubre au milieu des rires et des jeux des enfans. Les aigles et les vautours, enhardis par le brouillard, venaient dévorer nos pauvres passereaux... | |
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