...autres comme il l'entendait. Voilà ce qu'on avait fait pour l'indépendance municipale. « Cet emploi, dit Turgot, cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge ; on réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. » On comprend...

...qui « les supplée. » Turgot avait déjà dit d'une autre province, un peu avant : « Cet emploi cause le désespoir et presque « toujours la ruine de ceux qu'on en charge ; on réduit « ainsi successivement à la misère toutes les familles « aisées d'un village. »...

...qui les supplée. » Turgot avait déjà dit d'une autre province, un peu auparavant : « Cet emploi cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge; on réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. » Ce malheureux...

...qui les supplée. » Turgot avait déjà dit d'une autre province, un peu auparavant : « Cet emploi cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge; on réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. » Ce malheureux...

...LA RÉVOLUTION. 187 Turgot avait déjà dit d'une autre province, un peu auparavant : « Cet emploi cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge ; on réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. n Ce malheureux...

...situation des collecteurs, sur leur ignorance, leur défaut d'honorabilité et de justice. « Cet emploi, dit Turgot, cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge et réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. » En 1779,...

...courir de *. porte en porte chez les contribuables en relard. » « Cet «emploi, écrit Turgot 1 , cause le désespoir et presque « toujours la ruine de ceux qu'on en charge ; on réduit « ainsi successivement à la misère toutes les familles « aisées d'un village. »...

...de Turgot, qu'on croirait inspiré par la lecture du Code Théodosien. «Cet emploi (de collecteur) cause le désespoir et presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge, on réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles aisées d'un village. » A tout prendre,...

...Et chaque année, il y en avait 200,000 environ, qui étaient ainsi traités. «Cet em» ploi écrit Turgot, cause le désespoir et presque toujours » la ruine de ceux qu'on en charge. On réduit ainsi suc» cessivement à la misère, toutes les familles aisées d'un » village ». Pour...

...l'impôt. Et chaque année il y en avait 200,000 environ qui étaient ainsi traités. « Cet emploi, écrit Turgot, cause le désespoir et » presque toujours la ruine de ceux qu'on en charge. On » réduit ainsi successivement à la misère toutes les familles » aisées d'un village.» Pour...