Histoire de France depuis 1799 jusqu'en 1812, المجلد 7Ve C. Bechet; Firmm Didot frères, 1838 |
عبارات ومصطلحات مألوفة
affaires étrangères agents Alquier Américains anglais armées Arthur Wellesley aurait avaient bâtiments Bayonne belge Belgique bientôt c'était cabinet capitale cardinal de Bayanne Caulaincourt Cevallos Champagny Charles Charles IV comte conseil corps cour de Rome cour de Vienne Danemark déclaration demande dispositions donner empereurs Espa Espagne espagnol États eût événements Ferdinand VII Finlande flotte force général gouvernement grand-duc de Berg guerre Joseph jour Junot junte l'ambassadeur l'Angleterre l'Autriche l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'Espagne lettre librairie Lisbonne Madrid ment militaire mille hommes millions ministre des affaires mois n'avait n'était Naples Napoléon nation négociation Paix paix de Tilsitt pape pays pensée pereur Pétersbourg peuple Pie VII poléon politique Ponte Corvo ports Portugal prendre prince des Asturies proclamation projet provinces Prusse puissance question règne reine reste reur Romansof royaume d'Italie Russie s'était saint-père saint-siége sentiments serait seul souverain Stein Suède Tilsitt tion traité trône troupes françaises Turquie
مقاطع مشهورة
الصفحة 233 - Je ne suis point juge de ce qui s'est passé et de la conduite du Prince de la Paix ; mais ce que je sais bien, c'est qu'il est dangereux pour les Rois d'accoutumer les peuples à répandre du sang et à se faire justice euxmêmes.
الصفحة 233 - Altesse n'en aura plus, si jamais elle est malheureuse. Les peuples se vengent volontiers des hommages qu'ils nous rendent. Comment, d'ailleurs, pourrait-on faire le procès au prince de la Paix sans le faire à la Reine et au Roi votre père? Ce procès alimentera les haines et les passions fat-lieuses : le résultat eu sera funeste pour votre couronne.
الصفحة 272 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.
الصفحة 60 - Soit que lesdits bâtiments ainsi dénationalisés par les mesures arbitraires du gouvernement anglais, entrent dans nos ports ou dans ceux de nos alliés, soit qu'ils tombent au pouvoir de nos vaisseaux de guerre ou de nos corsaires, ils sont déclarés de bonne et valable prise.
الصفحة 157 - Mon fils, j'ai vu dans la lettre de Sa Sainteté (que certainement elle n'a pas écrite}, qu'elle me menace. Croirait-elle donc que les droits du trône sont moins sacrés, aux yeux de Dieu, que ceux de la tiare? Il y avait des rois avant qu'il y eût des papes.
الصفحة 158 - Le pape actuel s'est donné la peine de venir à mon couronnement à Paris. J'ai reconnu à cette démarche un saint prélat : mais il voulait que je lui cédasse les légations, je n'ai pu ni voulu le faire.
الصفحة 269 - Espagnols, Après une longue agonie, votre nation périssait. J'ai vu vos maux ; je vais y porter remède. Votre grandeur, votre puissance fait partie de la mienne.
الصفحة 61 - ... pour toutes les nations qui sauraient obliger le gouvernement anglais à respecter leur pavillon. Elles continueront d'être en vigueur pendant tout le temps que ce gouvernement ne reviendra pas aux principes du droit des gens, qui règle les relations des États civilisés dans l'état de guerre.
الصفحة 233 - Paix; mais ce que je sais bien, c'est qu'il est dangereux pour les rois d'accoutumer les peuples à répandre du sang et à se faire justice eux-mêmes. Je • prie Dieu que votre altesse royale n'en fasse pas elle-même un jour l'expérience. Il n'est pas de l'intérêt de l'Espagne de faire du mal à un prince qui a épousé une princesse du sang royal , et qui a si long-temps régi le royaume. Il n'a plus d'amis; votre altesse royale n'en aura plus si jamais elle est malheureuse.
الصفحة 253 - ... les Espagnes, et entraîner dans les plus horribles catastrophes vous, mon royaume, mes sujets et ma famille. Mon cœur s'est ouvert tout entier à l'empereur ; il connaît tous les outrages que j'ai reçus, et les violences qu'on m'a faites; il m'a déclaré qu'il ne vous reconnaîtrait jamais pour roi , et que l'ennemi de son père ne pouvait inspirer aucune confiance aux étrangers; d'ailleurs il m'a montré des lettres de vous , qui attestent votre haine pour la France.