| Emile Levasseur - 1889 - عدد الصفحات: 546
...de nouveau vers la fin du règne de Jean le Bon. « Je pouvais à peine, écrivait-il, reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'est plus qu'un monceau de cendres ; il n'y avait pas une seule maison debout, excepté celles qui... | |
| Ernest Lavisse - 1894 - عدد الصفحات: 1038
...vers la fin du règne du roi Jean, signale déjà le changement : « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'était qu'un monceau de cendres; il n'y avait plus une seule maison debout, excepté celles qui étaient protégées... | |
| Ernest Lavisse, Alfred Rambaud - 1894 - عدد الصفحات: 1004
...vers la fin du règne du roi Jean, signale déjà le changement : « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'était qu'un monceau de cendres; il n'y avait plus une seule maison debout, excepté celles qui étaient protégées... | |
| Ernest Lavisse - 1894 - عدد الصفحات: 994
...vers la fin du règne du roi Jean, signale déjà le changement : « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'était qu'un monceau de cendres; il n'y avait plus une seule maison debout, excepté celles qui étaient protégées... | |
| vicomte Georges Avenel - 1894 - عدد الصفحات: 774
...touché de la décadence où, dès celle époque, elleélailenlréc : « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'est plus qu'un monceau de cendres. 11 n'y avait pas une seule maison debout, excepté celles qui... | |
| vicomte Georges Avenel - 1895 - عدد الصفحات: 442
...de la décadence où, dès cette époque, elle était entrée : « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais. Le royaume le plus opulent n'est plus qu'un monceau de cendres. Où donc est maintenant ce Paris qui était une si grande cité?... | |
| Emile Levasseur - 1900 - عدد الصفحات: 842
...leur mcstier tenir : A paine est-il aujourdui nul ouvrier. EUSTACUB DESCHAMPB, éd. Crapelel, p. 147. France vers la fin du règne du roi Jean, s'étonnait...excepté celles qui étaient protégées par les remparts dés villes et des citadelles. Où donc est maintenant ce Paris qui était une si grande cité1? «... | |
| Emile Levasseur - 1900 - عدد الصفحات: 846
...leur meslier tenir : A paine est-il aujourdui nul ouvrier. EUSTACHE DESCHAMPS, éd. Crapelet, p. 147. France vers la fin du règne du roi Jean, s'étonnait...peine reconnaître, écrivait-il, quelque chose de ce queje voyais. Le royaumele plusopulentn'étailplus qu'un monceau de cendres : il n'y avait plus une... | |
| Jean Bardoux - 1906 - عدد الصفحات: 228
...vers la fin du règne du roi Jean, signalait déjà le changement: « Je pouvais à peine reconnaître quelque chose de ce que je voyais, le royaume le plus opulent n'était qu'un monceau de cendres ; il n'y avait plus une seule maison debout, excepté celles qui étaient... | |
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