Vie politique, littéraire et morale de Voltaire...: où l'on réfute Condorcet et les autres biographes, en citant plus de deux cents faits, tous appuyés sur des preuves incontestables, souvent fournies par Valtaire lui-même, et que chacun peut vérifer dans les OEuvres complètes |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
FRE-VIE POLITIQUE LITTERAIRE E <span dir=ltr>Edouard Marie Joseph 1767-1836 Lepan</span>þ áÇ ÊÊæÝÑ ãÚÇíäÉ - 2016 |
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
affaire amis année assez auteur avoit avril ayant caractère cause celui-ci cent chargé chef composa comte d'Argental Condorcet coup cour critique croire d'Alembert d'autres d'avoir demande dernier Desfontaines dire doit donner doute écrit écrivit écrivoit ennemis étoient étoit Ferney février fils fort Frédéric garde gens homme imprimer j'ai janvier jésuites jeune jouer jours juin l'abbé l'auteur l'Histoire l'un laisser Lettre libraire lieu livres Louis lui-même madame mains malheur marquis marquis d'Argens mars mémoire ment mettre mieux mille mois monde mort n'avoit n'en n'étoit nouvelle novembre occasion ouvrages parler passé pendant père personnes peut-être philosophie pièce place plaisir porte pourroit pouvoit première présenté Prusse public qu'à qu'un raison religion représenta resta Richelieu rien Rousseau s'en s'il secrétaire sentiments sera seroit servir seul solliciter sortir souvent suite suivant sujet terre tion titre tragédie traité trouve venir vérité Voltaire vouloit
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 83 - Je vous écris à côté d'un poêle, la tête pesante et le cœur triste, en jetant les yeux sur la rivière de la Sprée, parce que la Sprée tombe dans l'Elbe, l'Elbe dans la mer, et que la mer reçoit la Seine, et que notre maison de Paris est assez près de cette rivière de Seine; et je dis : « Ma chère enfant, pourquoi suis-je dans ce palais, dans ce cabinet qui donne sur cette Sprée, et non pas au coin de notre feu?þ
ÇáÕÝÍÉ 154 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.þ
ÇáÕÝÍÉ 145 - La scène qui s'est passée à Abbeville * est tragique : mais n'y at-il pas de la faute de ceux qui ont été punis ? faut-il heurter de front des préjugés que le temps a consacrés dans l'esprit des peuples?þ
ÇáÕÝÍÉ 134 - Le plus difficile sera fait quand la philosophie sera délivrée des grands grenadiers du fanatisme et de l'intolérance; les autres ne sont que des cosaques et des pandours qui ne tiendront pas contre nos troupes réglées.þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Il faut qu'il se dise tout à lui-même ; et ce qu'il se dit en secret, c'est que j'ai la volonté et le droit de laisser à la postérité sa condamnation par écrit.þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - ... résisteraient pas. Le malheur est que ma machine n'est bonne que pour une campagne, et que le secret connu devient inutile ; mais quel plaisir de renverser à coup sûr ce qu'on rencontre dans une campagne ! Sérieusement, je crois que c'est la seule ressource contre les Vandales victorieux. Essayez, pour voir, seulement deux de ces machines contre un bataillon ou un escadron. J'engage ma vie qu'ils ne tiendront pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 154 - Les jésuites sont enfin chassés de Lorraine. Je me flatte que les capucins, leurs anciens valets, seront bientôt rendus à la bêche et à la charrue, qu'ils avaient quittées très mal à propos.þ
ÇáÕÝÍÉ 145 - Gardons -nous d'introduire le fanatisme dans la philosophie ; son caractère doit être la douceur et la modération. Elle doit plaindre la fin tragique d'un jeune homme qui a commis une extravagance; elle doit démontrer la rigueur excessive d'une loi faite dans un temps grossier et ignorant ; mais il ne faut pas que la philosophie encourage à de pareilles actions, ni qu'elle fronde des juges qui n'ont pu prononcer autrement qu'ils l'ont fait.þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - Pasquin, il parle quelquefois d'assez bon sens*. Pour moi, qui vois tout en ce moment couleur de rose, je vois d'ici les jansénistes mourant l'année prochaine de leur belle mort, après avoir fait périr cette année-ci les jésuites de mort violente, la tolérance s'établir, les protestants rappelés, les prêtres mariés, la confession abolie, et l'infâme écrasée sans qu'on s'en aperçoive.þ
ÇáÕÝÍÉ 68 - On n'en a pas moins une âme sensible et tendre, la douleur n'en a pas été moins vive, parce qu'on a eu le courage de la combattre, et que des qualités extraordinaires ont donné la force de la vaincre. Voltaire se lassait d'entendre tous les gens du monde, et la plupart des gens de lettres, lui préférer Crébillon, moins par sentiment que pour le punir de l'universalité de ses talents...þ
ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ
| ÇáÚäæÇä | Vie politique, littéraire et morale de Voltaire...: où l'on réfute Condorcet et les autres biographes, en citant plus de deux cents faits, tous appuyés sur des preuves incontestables, souvent fournies par Valtaire lui-même, et que chacun peut vérifer dans les OEuvres complètes |
| ÇáãÄáÝ | Édouard Marie Joseph Lepan |
| ÇáÅÕÏÇÑ | 3, ãÎÊÕÑ |
| ÇáäÇÔÑ | Société catholique des bons livres, 1825 |
| ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ | 228 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
| ÊÕÏíÑ ÇáÇÞÊÈÇÓ | BiBTeX EndNote RefMan |