Bulletin de l'Institut national genevois, ÇáãÌáÏ 32Chez Georg, 1894 |
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archers armées armes arquebusiers assiégés avaient avoit ayant bataille Bayard bourgeois Brantôme Brissac c'était capitaine cent ceste chanson Charles Charles IX cheval chose citoyen code Henri combat commune de Meyrin compagnie compagnies d'ordonnance Conseil Contrat social Convention Nationale coup d'arquebuse coup de coutelas coup de mousquet cour décret devait district de Gex estat esté estoit François François Ier Gardelle général Genève Genevois gens d'armes gens de guerre gens de pied gent d'armerie gentilshommes gouvernement habitant Henri III Henri IV hommes Ibid Inst Inter Jean jour Journal du règne l'armée l'artillerie lansknets livres logis maison maréchal Martin Du Bellay Mategnin Mém Mémoires ment monsieur Montluc mort mousquet Muralt nationale paie passé pays de Gex peuple Piémont Pologne princes registres règne de Henri République Rousseau royale s'il séances Section seigneur sera service seulement sieur soldatesque soldats Suisses suivant sujet Thonon tion troupes trouve XVIe siècle XXXII
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ÇáÕÝÍÉ 190 - La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée. Elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point : elle est la même, ou elle est autre ; il n'ya point de milieu. Les Députés du peuple ne sont donc, ni ne peuvent être, ses représentants; ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle ; ce n'est point...þ
ÇáÕÝÍÉ 193 - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois, voilà les dogmes positifs.þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - Or il importe bien à l'Etat que chaque citoyen ait une religion qui lui fasse aimer ses devoirs; mais les dogmes de cette religion n'intéressent ni l'Etat ni ses membres qu'autant que ces dogmes se rapportent à la morale, et aux devoirs que celui qui la professe est tenu de remplir envers autrui.þ
ÇáÕÝÍÉ 186 - Trouver une forme d'association qui défende et « protège de toute la force commune la personne et « les biens de chaque associé , et par laquelle chacun , « s'unissant à tous , n'obéisse pourtant qu'à lui-même , ,K et reste aussi libre qu'auparavant.þ
ÇáÕÝÍÉ 177 - Outre l'avantage de la distinction des deux pouvoirs, elle a celui du choix de ses membres; car, dans le gouvernement populaire , tous les citoyens naissent magistrats , mais celui-ci les borne à un petit nombre , et ils ne le deviennent que par élection " ; moyen par lequel la probité , les lumières , l'expérience , et toutes les autres raisons de préférence et d'estime publique , sont autant de nouveaux garants qu'on sera sagement gouverné.þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - Le droit que le pacte social donne au souverain sur les sujets ne passe point, comme je l'ai dit ('), les bornes de l'utilité publique (a).þ
ÇáÕÝÍÉ 32 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.þ
ÇáÕÝÍÉ 27 - ... de maintenir de tout leur pouvoir la constitution du royaume, d'être fidèles à la nation, à la loi et au Roi, et de remplir avec zèle et courage les fonctions civiles et politiques qui leur seront confiées.þ