Histoire des institutions d'éducation ecclésiastique, ÇáãÌáÏ 1

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
Debécourt, 1841
 

ÇáÕÝÍÇÊ ÇáãÍÏÏÉ

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 346 - Louis , par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre , à tous présens et à venir, salut.þ
ÇáÕÝÍÉ 394 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.þ
ÇáÕÝÍÉ 370 - Que les philosophes véritables fassent une confrérie comme les francs-maçons, qu'ils s'assemblent, qu'ils se soutiennent, qu'ils soient fidèles à la confrérie, et alors je me fais brûler pour eux. Cette académie secrète vaudrait mieux que l'académie d'Athènes et toutes celles de Paris. Mais chacun ne songe qu'à soi, et on oublie le premier des devoirs, qui est d'anéantir l'inf Confondez l'inf...þ
ÇáÕÝÍÉ 95 - En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera les œuvres que je fais, et en fera de plus grandes, parce que je vais à mon Père.þ
ÇáÕÝÍÉ 63 - Tremblons, nous tous chers frères, tremblons , de peur que le règne de Dieu, dont nous abusons, ne nous soit enlevé et ne passe à d'autres nations qui en porteront les fruits. Tremblons, humilions-nous, de peur que...þ
ÇáÕÝÍÉ 64 - Que ma langue se sèche m mon palais et qu'elle devienne immobile si vous n'êtes pas jusqu'au dernier soupir de ma vie le principal objet de ma joie et de mes cantiques ! Ne craignons point de nous exprimer ici avec saint Cyprien.þ
ÇáÕÝÍÉ 63 - JésusChrist ni Grec, ni Scythe, ni Barbare , ni Juif, ni Gentil ; tout est fait un seul peuple dans votre sein ; tous sont concitoyens de Rome, et tout catholique est romain.þ
ÇáÕÝÍÉ 396 - Robespierre sur les rapports des idées religieuses et morales avec les principes républicains et sur les fêtes nationales, lu dans la séance du 18 floréal an II.þ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Et ut scolae legentium puerorum fiant. Psalmos, notas, cantus, compotum, grammaticam per singula monasteria vel episcopia et libros catholicos bene emendate; quia saepe, dum bene aliqui Deum rogare cupiunt, sed per inemendatos libros male rogant. Et pueros vestros non sinite eos vel legendo vel scribendo corrumpere; et si opus est euangelium, psalterium et missale scribere, perfectae aetatis homines scribant cum omni diligentia.þ
ÇáÕÝÍÉ 63 - D'où vient que son autorité leur donne tant de vains ombrages? Quoi ! le sacré lien de l'unité, qui doit faire de tous les peuples un seul troupeau, et de tous les ministres un seul pasteur, sera-t-il le prétexte d'une funeste division? Serions-nous arrivés à ces derniers temps, où le Fils de l'Homme trouvera à peine de la foi sur la terre? Tremblons, mes très...þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ