Histoire monarchique et constitutionelle de la révolution française: composée sur un plan nouveau et d'après des documents inédits. Précédée d'une introduction et d'un tableau du règne de Louis XVI, jusqu'à l'ouverture des États-généraux, ÇáãÌáÏ 3 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
actes allait amis annoncer appelé arrêté arrive assemblée assurer aurait avaient ayant Bailly bientôt capitale caractère cause cesse chargé citoyens clergé comité communes comte conduite conseil considération corps coups cour déclaration décrets délibérations demande députés devait discours donner électeurs enfin esprits eût faisait force formes foule françaises gardes général gouvernement Hist hommes jour juillet juin l'Assemblée nationale l'esprit l'ordre Lafayette lettre liberté lieu lois Louis XVI main marche Mém membres Mémoires ment mesures milieu ministres Mirabeau monarchie Moniteur moyens multitude n'avait n'était nation Necker nobles noblesse nouveau nouvelle ordres parler pendant personne peuple place populaire porter pouvait pouvoir premier présenter président prince pris projet proposa public publique qu'à qu'une refus reine rendit rendre représentans reste réunion réunis révolution rien royale s'était salle séance semblée sentiment serait seul soldats sort suivi surtout tête tiers-état tion trône troupes trouvait venait Versailles vive voix volonté voulait voyait
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 107 - Où sont les ennemis de la nation ? Catilina est-il à nos portes ? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment ; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.þ
ÇáÕÝÍÉ 467 - Eh! messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi , vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère!þ
ÇáÕÝÍÉ 467 - ... mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère. Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome... Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là; elle menace de consumer vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez...þ
ÇáÕÝÍÉ 86 - L'Assemblée nationale, considérant qu'appelée à fixer la constitution du royaume, opérer la régénération de l'ordre public, et maintenir les vrais principes de la monarchie, rien ne peut empêcher qu'elle ne continue ses délibérations dans quelque lieu qu'elle soit forcée de s'établir, et qu'enfin partout où ses membres sont réunis, là est l'Assemblée nationale...þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - C'est dans cette confiance. Messieurs, que je vous ai rassemblés, et je vois avec sensibilité qu'elle a déjà été justifiée par les dispositions que les deux premiers Ordres ont montrées à renoncer à leurs privilèges pécuniaires.þ
ÇáÕÝÍÉ 513 - Paris pour demander ma tête ; mais j'ai » appris de ma mère à ne pas craindre la mort , » et je l'attendrai avec fermeté.þ
ÇáÕÝÍÉ 241 - ... de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu?þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.þ
ÇáÕÝÍÉ 241 - ... j'ai donné ordre aux troupes de s'éloigner de Paris et de Versailles. Je vous autorise et vous invite même à faire connaître mes dispositions à la capitale.þ
ÇáÕÝÍÉ 102 - ... bien public, et si, par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant; et connaissant vos cahiers, connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de la nation et mes intentions bienfaisantes...þ