Nouveaux mélanges philosophiquesJoubert, 1842 - 452 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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appelle l'homme Aristote c'est-à-dire caractère cause cherche chose signifiée conditions connaissance conscience conséquent constituée corps criterium d'abord définition démontré dépendance dérivent Descartes déterminer développement Dieu différentes dire distinctes division écoles normales écoles normales primaires effet éléments émanent épigraphe esprit évident extérieur facultés force hommes idées intel investigation philosophique j'avais Jouffroy Kant l'âme l'auteur l'autre l'esprit l'étude l'histoire d'une science l'in l'instituteur l'instruction l'intelli l'intelligence humaine l'objet d'une science l'objet total l'un l'unité leçons liberté d'enseignement logique générale lois loppement luble manière matérielles mémoire ment Messieurs méthode molécules morale mouvement n'en nière nomènes nuisible objet organisée pensée phé phéno phénomènes physiologiques phénomènes psychologiques philoso pose précise première primaire principe problèmes qu'une science questions raison rapport recherches résoudre reste résultats rien Romiguière Royer-Collard saisir savoir sciences particulières sens sentiment serait seul signe naturel solution sorte spécial stions systèmes tion trouve turel unité utile vérité voilà vrai
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ÇáÕÝÍÉ 111 - ... l'examen se poursuivait, plus obstiné et plus sévère à mesure qu'il approchait du terme, et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - Royer-Collard, marchant sur les pas de Reid, l'avait résolue d'une autre ; et M. Cousin, évoquant tous les systèmes des philosophes anciens et modernes sur ce point, les rangeant en bataille en face les uns des autres, s'épuisait à montrer que M. Royer-Collard avait raison, et Condillac tort.... þ
ÇáÕÝÍÉ 277 - Les perfectionnements que pourrait recevoir l'institution des Écoles normales primaires considérée dans ses rapports avec l'éducation morale de la jeunesse.þ
ÇáÕÝÍÉ 107 - Né de parents pieux et dans un pays où la foi catholique était encore pleine de vie au commencement de ce siècle, j'avais été accoutumé de bonne heure à considérer l'avenir de l'homme et le soin de son âme comme la grande affaire de ma vie, et toute la suite de mon éducation avait contribué à fortifier en moi ces dispositions sérieuses.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - C'est notre rôle à nous, à qui l'expérience a révélé la vraie vérité sur les choses de ce monde, de vous le dire. Le sommet de la vie vous en dérobe le déclin ; de ses deux pentes vous n'en connaissez qu'une, celle que vous montez. Elle est riante, elle est belle, elle est parfumée comme le printemps. Il ne vous est pas donné, comme à nous, de contempler l'autre avec ses aspects mélancoliques, le pâle soleil qui l'éclaire et le rivage glacé qui la termine.þ
ÇáÕÝÍÉ xviii - ... la douce vie du riche aux fatigues du pauvre, et la détresse de l'un à l'aisance de l'autre, pressentir tout ce qu'a dit Rousseau sur l'inégalité des conditions et l'excellence de la loi agraire : toute cette conspiration de passions et de sophismes échoue en lui contre quelque chose d'incorruptible qui persiste à appeler l'action par son nom et à juger qu'il est mal de la faire. Qu'il résiste ou qu'il cède à la tentation, peu importe : s'il cède, il sait qu'il fait mal; s'il résiste,...þ
ÇáÕÝÍÉ xviii - L'accomplissement du devoir, voilà, jeunes élèves, et le véritable but de la vie et le véritable bien. Vous le reconnaissez à ce signe qu'il dépend uniquement de votre volonté de l'atteindre, et à cet autre qu'il est également à la portée de tous, du pauvre comme du riche, de l'ignorant comme du savant, du pâtre comme du roi, et qu'il permet à Dieu de nous jeter tous tant que nous sommes dans la même balance, et de nous peser avec les mêmes poids.þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - ... ces réponses j'y croyais, et grâce à ces croyances la vie présente m'était claire , et par delà je voyais se dérouler sans nuage l'avenir qui doit la suivre. Tranquille sur le chemin que j'avais à suivre...þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - Je ne pouvais revenir de mon étan« nement , qu'on s'occupât de l'origine des idées avec une « ardeur si grande, qu'on eût dit que toute la philosophie « était là, et qu'on laissât de côté l'homme, Dieu, le þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - C'est sur cette pente que mon intelligence avait glissé, et que peu à peu elle s'était éloignée de la foi. Mais cetle mélancolique révolution ne s'était point opérée au grand jour de ma conscience; trop de scrupules, trop de vives et saintes affections me l'avaient rendue redoutable pour que je m'en fusse avoué les progrès. Elle s'était accomplie sourdement par un travail involontaire...þ