Conjuration contre la religion catholique, et les souverains, dont le projet fut conçu en France, pour être exécuté dans l'univers: Ouvrage qui achève de démasquer les Franc-Maçons, et de confondre les philosophes et les sectaires de tous les genres |
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ÇáÕÝÍÉ 48 - La mort de Socrate, philosophant tranquillement avec ses amis, est la plus douce qu'on puisse désirer: celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate, prenant la coupe empoisonnée, bénit celui qui la lui présente et qui pleure; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés.þ
ÇáÕÝÍÉ 48 - Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu. Dironsnous que l'histoire de l'Évangile est inventée à plaisir? Mon ami, ce n'est pas ainsi qu'on invente; et les faits de Socrate, dont personne ne doute, sont moins attestés que ceux de Jésus-Christ.þ
ÇáÕÝÍÉ 47 - Est-ce là .le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire? Quelle douceur! quelle pureté dans ses mœurs! quelle grâce touchante dans ses instructions! quelle éléva^tion dans ses maximes! quelle profonde sagesse dans ses discours! quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses!þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise.þ
ÇáÕÝÍÉ 48 - Au fond, c'est reculer la difficulté sans la détruire ; il serait plus inconcevable que plusieurs hommes d'accord eussent fabriqué ce livre, qu'il ne l'est qu'un seul en ait fourni le sujet. Jamais des auteurs juifs n'eussent trouvé ni ce ton, ni cette morale ; et l'Evangile a des caractères de vérité si grands, si frappants, si parfaitement inimitables, que l'inventeur en serait plus étonnant que le héros.þ
ÇáÕÝÍÉ 47 - Il inventa, dit-on, la morale; d'autres avant » lui l'avoient mise en pratique : il ne fit que » dire ce qu'ils avoient fait, il ne fit que mettre » en leçons leurs exemples. Aristide avoit été þ
ÇáÕÝÍÉ 47 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.þ
ÇáÕÝÍÉ 44 - Je jure, dit-il, une haine implacable au trône et au sacerdoce, et je consens, si je viole ce serment, que mille poignards soient plongés dans mon sein parjure; que mes entrailles soient déchirées et brûlées, et que mes cendres, portées aux quatre coins de l'univers, soient un monument de mon infidélité (1). » C'est le mot terrible échappé à Shakespeare, comme une sombre prophétie de l'avenir :« Unkingand unpriest the earth.þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans lui.þ