Analyse et examen de l'Antiquité dévoilée, du Despotisme oriental, & du Christianisme dévoilé, ouvrages posthumes de BoullangerBarde Manget, 1788 - 400 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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abfolument affez ainfi auffi avoient avoit ayent bafe Boulanger c'eft c'eſt caufe cauſe ceffe chofes conféquence connoiffance connoître crifes périodiques defpotifme déluge Dieu Monarque Dieux Diodore de Sicile Divinité dogmes dogmes religieux échappés au déluge efprit enfans eſpèce eſt étoient étoit facrées facrifices fages fans fciences fe font fecond felon femblables fent feroit feul fiècles fimples focial fociété foient foit fophes fortis des mains fource fous fouvent fuite innombrable fuivant fujet fuperftition fur la terre fyftême Gebelin genre humain gouvernemens gouvernement hiftoire Hiftoriens individus inftitutions Jean-Jacques jufqu'à l'âge d'or l'efpèce humaine l'efprit l'eſpèce humaine l'état de nature l'état fauvage l'hiftoire l'homme l'ordre loix maux ment mifères morale Moyfe n'eft n'eſt nations néceffaire néceffité Nomarchie paffé penfer peuples Philofophe pofe poffible politique préfente prefque premiere premiers hommes principes raifon refte règne religion reux révolutions Rois route du bonheur s'eft terreur théo théocratie tion traditions ufages
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ÇáÕÝÍÉ 313 - Que si quelqu'un après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort; il a commis le plus grand des crimes, il a menti devant les lois.þ
ÇáÕÝÍÉ 289 - Nous voyons donc la société humaine appuyée sur ces fondements inébranlables; un même Dieu , un même objet , une même fin , une origine commune, un même sang, un même intérêt, un besoin mutuel , tant pour les affaires que pour la douceur de la vie.þ
ÇáÕÝÍÉ 271 - C'est pourquoi Dieu prend en sa protection tous les gouvernements légitimes, en quelque forme qu'ils soient établis; qui entreprend de les renverser n'est pas seulement ennemi public, mais encore ennemi de Dieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 294 - ... places et les armes ; à lui les décrets et les ordonnances ; à lui les marques de distinction; nulle puissance que dépendante de la sienne; nulle assemblée que par son autorité. C'est ainsi que pour le bien d'un Etat, on en réunit en un toute la force. Mettre la force hors de là, c'est diviser l'Etat; c'est ruiner la paix publique; c'est faire deux maîtres...þ
ÇáÕÝÍÉ 93 - Monarques l'abus injufle de leur pouvoir, les mifcrcs de leurs iujets, les pleurs des opprimes; trop timide, ou trop bon courtifan, pour faire tonner la vérité dans leurs oreilles, il ne leur parle point de ces vexations multipliées fous lefquelles les nations...þ
ÇáÕÝÍÉ 270 - ... capables de porter les hommes toujours avides de nouveautés , toujours jaloux de l'indépendance , aux excès les plus criminels. Vouloir intervertir l'ordre établi, n'eftce pas lever l'étendart de la révolte?þ
ÇáÕÝÍÉ 363 - ... rien ne s'explique , ôc avec laquelle tous les tems , tous les langages , toutes les allégories. , tous les faits fe développent, fe cafent, s'expliquent avec une certitude & une évidence...þ
ÇáÕÝÍÉ 115 - Philofophe en un clin-d'ail, fur les grands chemins, ofe-t-il décider du ton le plus dogmatique, que le déluge n'a pas été une punition d'en haut, qu'il n'a été qu'une crife, une effervefcence, une fermentation, une fièvre de la nature þ
ÇáÕÝÍÉ 114 - M talité envers les étrangers , ces crimes «leur attirèrent les châtiments du ciel ; » tout d'un coup il fortit de la terre une » prodigieufe quantité d'eau. Il tomba » beaucoup de pluie; les rivières fe dé...þ
ÇáÕÝÍÉ 312 - On prou.' v trait au premier t que jamais État ne fut fondé que la Religion ne lui fervît de bafe ; & au fécond , que la loi Chrétienne ejl au fond plus nuijible qu'utile à la forte conjlitution de l'État.þ