Etudes sur Virgile: comparé avec tous les poètes épiques et dramatiques des anciens et des modernesMequignon-Marvis, 1825 |
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Aceste Achille æquora æther amante âme amor amour Anchise Antiloque Ascagne atque Bajazet beauté Bébryces bûcher Chalciope charme cher ciel Clorinde cœur colère combat courage coursiers crime cruel d'Anchise d'Énée Darès déesse Delille désespoir Dido Didon dieu dieux discours douleur Énée époux Euripide femme Fénélon fils flamme flots funeste fureur gloire Grecs guerriers hæc héros heureux Hippias Homère hymen ille images imité ipse j'ai jamais Jason jeune Junon Jupiter l'amour l'Énéide laisse larmes littora main malheur Médée Ménélas ment mère mihi montre mort mourir Neptune nunc omnes Ovide paroles passion Patrocle pectore peinture pensée père peuple peut-être Phèdre pitié pleurs poëte Pollux Priam prière prince troyen pudeur quæ quum Racine reine de Carthage rival Roxane sang scène sent seul Sichée sœur sort Tancrède Tasse Télémaque tendre terre touchant tout-à-coup traits trépas triomphe Troyens Ulysse vaisseaux Valérius Vénus victoire Virgile vœux voix yeux
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ÇáÕÝÍÉ 125 - M'ordonnât elle-même une absence éternelle. Moi-même j'ai voulu vous entendre en ce lieu. Je n'écoute plus rien ; et pour jamais, adieu. Pour jamais ! Ah ! Seigneur, songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous, Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ? Que le jour recommence et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que de tout le jour je puisse voir Titus...þ
ÇáÕÝÍÉ 207 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.þ
ÇáÕÝÍÉ 369 - Dulce meum, miserere domus labentis et istam, Oro, si quis adhuc precibus locus, exue mentem.þ
ÇáÕÝÍÉ 62 - Et ces lauriers encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence. Ciel ! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?þ
ÇáÕÝÍÉ 379 - Sol, qui terrarum flammis opera omnia lustras, tuque harum interpres curarum et conscia Juno, nocturnisque Hecate triviis ululata per urbes, et Dirae ultrices, et di morientis Elissae, 610 accipite haec, meritumque malis advertite numen, et nostras audite preces. Si tangere portus infandum caput ac terris adnare necesse est, et sic fata Jovis poscunt, hie terminus haeret : KX tela.þ
ÇáÕÝÍÉ 31 - Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats ; Je t'ai tout avoué ; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.þ
ÇáÕÝÍÉ 288 - Rome qui t'a vu naître et que ton cœur adore! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore! Puissent, tous ses voisins, ensemble conjurés, Saper ses fondements encor mal assurés! Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.þ
ÇáÕÝÍÉ 547 - Mentor; il eut honte de sa victoire, et comprit combien il avait mérité d'être vaincu. Cependant Phalante, transporté de fureur , accourait au secours de son frère : il eût percé Télémaque d'un dard qu'il portait, s'il n'eût craint de percer aussi Hippias que Télémaque tenait sous lui dans la poussière.þ
ÇáÕÝÍÉ 361 - ... uritur infelix Dido totaque vagatur urbe furens, qualis coniecta cerva sagitta, quam procul incautam nemora inter Cresia fixit 70 pastor agens telis liquitque volatile ferrum nescius: illa fuga silvas saltusque peragrat Dictaeos; haeret lateri letalis harundo.þ
ÇáÕÝÍÉ 170 - Songez-vous que, sans moi, tout vous devient contraire? Que c'est à moi surtout qu'il importe de plaire? Songez-vous que je tiens les portes du palais ; Que je puis vous l'ouvrir ou fermer pour jamais ; Que j'ai sur votre vie un empire suprême; Que vous ne respirez qu'autant que je vous aime? Et, sans ce même amour qu'offensent vos refus, Songez-vous, en un mot, que vous ne seriez plus?þ