Recueil des publications |
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action année archives Augustin bactéries Bernardin de Saint-Pierre Bibliothèque du Havre bonum Bossuet bourgeois bureaux de bienfaisance Caudebec cause chose Coligni commerce conseil Cyrille de Jérusalem décret dépenses députés Deus Dieu dispensaires doctrine donne échevins efficax élus etiam étude Fécamp FOUGÈRES François Ier gràce grat gratia gratiam Harfleur heures hominis hommes homo hôpitaux hospices hospitaliers Jansenius JENNEQUIN Jésus-Christ justice l'Assemblée l'Assistance publique l'hôpital LEFRANC lettre LEVAREY liberté de l'homme liberum arbitrium libre arbitre livres maire malades Malebranche marins Membre résidant ment mérite microbes Montivilliers morale municipaux du Havre navires nisi nobis nombre Normandie œuvres officiers municipaux Origène Paul et Virginie peccata peccatum péché porte posse potest prédestination PRÉSIDENT principe publié quæ quam question QUIN quod raison RIDENT rien Rouen Saint salut séance sera seulement ST-GENIS sunt théorie Tiers-Etat tion traitement trouve utique veut vieillards volonté voluntate XVIIIe siècle καὶ τὸ
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ÇáÕÝÍÉ 113 - Not what they would? What praise could they receive, What pleasure I, from such obedience paid, When Will and Reason (Reason also is Choice), Useless and vain, of freedom both despoiled, Made passive both, had served Necessity, Not me?þ
ÇáÕÝÍÉ 129 - Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix...þ
ÇáÕÝÍÉ 114 - Or high foreknowledge : they themselves decreed Their own revolt, not I : if I foreknew, Foreknowledge had no influence on their fault, Which had no less proved certain unforeknown. So without least impulse or shadow of fate, Or aught by me immutably foreseen, They trespass, authors to themselves in all, Both what they judge and what they choose...þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Presque tous les états, duchés, fiefs militaires, Royaumes, marquisats, tous sont héréditaires; Mais le peuple a parfois son pape ou son césar, Tout marche, et le hasard corrige le hasard. De là vient l'équilibre, et toujours l'ordre éclate.þ
ÇáÕÝÍÉ 83 - ... a célébré la messe; il a béni le drapeau de la milice et prononcé à ce sujet un petit discours patriotique. La cérémonie terminée, la milice est revenue, dans le même ordre, à la place de la Citadelle où, en présence des officiers municipaux, elle a fait le serment « de bien et fidèlement servir pour le maintien de la paix et la défense des citoyens ». Le soir les officiers ont donné, dans l'une des salles de l'Hôtel de Ville, un banquet de soixante dix couverts, où assistaient...þ
ÇáÕÝÍÉ 29 - Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu ! Voici, votre demeure va devenir déserte.þ
ÇáÕÝÍÉ 135 - Je veux dire, pour me servir des termes ordinaires, que la volonté est une puissance aveugle, qui ne peut se porter qu'aux choses que l'entendement lui représente. De sorte que la volonté ne peut déterminer diversement l'impression qu'elle a pour le bien, et toutes ses inclinations naturelles qu'en commandant à l'entendement de lui représenter quelque objet particulier. La force qu'a...þ
ÇáÕÝÍÉ 128 - Pour être souverainement indépendant de l'inégalité des objets finis entre eux, il n'en est pas moins sage ; il voit cette inégalité de tous les objets entre eux ; il voit leur égalité par rapport à sa perfection infinie; il voit leur éloignement infini du néant; il voit tous les rapports que chacun d'eux peut avoir à sa gloire, et toutes les raisons de le produire...þ
ÇáÕÝÍÉ 125 - Il connoît la sagesse humaine, toujours courte par quelque endroit ; il l'éclaire, il étend ses vues, et puis il l'abandonne à ses ignorances : il l'aveugle , il la précipite, il la confond par elle même : elle s'enveloppe, elle s'embarrasse dans ses propres subtilités, et ses précautions lui sont un piège.þ
ÇáÕÝÍÉ 135 - Le principe de notre liberté, c'est qu'étant faits pour Dieu, et unis à lui, nous pouvons toujours penser au vrai bien, ou à d'autres biens qu'à ceux auxquels nous pensons actuellement; c'est que nous pouvons toujours suspendre notre consentement, et sérieusement examiner si le bien dont nous jouissons est où n'est pas le vrai bien (3).þ