Histoire d'un paysan, 1789, ÇáãÌáÏ 1 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
appelait arrivait aurait avaient avant Baraques beau bout bras c'était Catherine cause Chauvel choses commence compte content côté coup cour criait curé demandait députés derrière devant Dieu dire disait donner enfants Enfin états généraux faisait fallait femme figure fils force forge garde gens gros grosse haut heures homme idée j'ai j'avais j'étais jour jusqu'à l'air l'autre laisser lettre levait lieu livres main maintenant maison maître Jean malheureux marche Marguerite mère Michel milieu misère monde monter n'avait n'était Nicolas nobles noblesse nommer ordres pareil parlait passer pauvres payer pays paysans peine pendant pense père petit petite peuple place porte pourtant pouvait première pris Qu'est-ce qu'un quatre regardait remplir répondit reste retourner riait rien rouge s'en salle seigneurs serait seul soir sommes sorte table tenait terre tête tiers état travaille trouvait Valentin venait vieille vieux village voilà voix voulait voyait yeux
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 361 - Généraux, vous qui n'avez ici ni place ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours. Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je vous déclare que si l'on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez demander des ordres pour employer la force, car nous ne quitterons nos places que par la puissance de la baïonnette.þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - force militaire environne les états ! où sont les ennemis de la nation? Catilina est-il à nos portes? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - Qui vous donne des lois impérieuses? votre mandataire; lui qui doit les recevoir de nous, messieurs, qui sommes revêtus d'un sacerdoce politique et inviolable ; de nous, enfin, de qui seuls vingt-cinq millions d'hommes attendent un bonheur certain, parce qu'il doit être consenti, donné et reçu par tous.þ
ÇáÕÝÍÉ 364 - L'Assemblée nationale déclare que la personne de chaque député est inviolable; que tous particuliers, toutes corporations, tribunal, cour ou commission, qui oseraient, pendant ou après la présente session, poursuivre, rechercher, arrêter ou faire arrêter, détenir ou faire détenir un député, pour...þ
ÇáÕÝÍÉ 359 - ce que vous venez d'entendre pourrait être le « salut de la patrie, si les présents du despotisme « n'étaient pas toujours dangereux. Quelle est « cette insultante dictature ? l'appareil des armes, «la violation du temple national, pour vous « commander d'être heureux ! Qui vous fait ce «commandement? votre mandataire. Qui vous «donne des lois impérieuses? votre mandataire, «lui...þ
ÇáÕÝÍÉ 364 - L'Assemblée nationale arrête que, dans les cas susdits, elle prendra toutes les mesures nécessaires pour faire rechercher, poursuivre et punir ceux qui en seront les auteurs, instigateurs ou exécuteurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 174 - Roi pour l'exécution des kitres de Convocation, le 24 janvier 1789. Le Roi, en adressant aux diverses provinces soumises à son obéissance, des lettres de convocation pour les Etats généraux a voulu que ses sujets fussent tous appelés à concourir aux élections des Députés qui doivent former cette grande et solennelle assemblée...þ
ÇáÕÝÍÉ 359 - Messieurs, j'avoue que ce que vous venez d'entendre pourrait être le salut de la Patrie, si les présents du despotisme n'étaient toujours dangereux. Quelle est cette insultante dictature? L'appareil des armes, la violation du temple national, pour vous commander d'être heureux! Qui vous fait ce commandement? Votre mandataire! Qui vous donne des lois impérieuses? Votre mandataire! Lui qui doit les recevoir de nous, Messieurs, qui sommes revêtus d'un sacerdoce politique et...þ
ÇáÕÝÍÉ 363 - C'est aujourd'hui que je bénis la liberté de ce qu'elle mûrit de si beaux fruits dans l'assemblée nationale. Assurons notre ouvrage , en déclarant inviolable la personne des députés aux Etats-Généraux.þ
ÇáÕÝÍÉ 143 - Quant au cardinal, il ne fut pas marque, parce qu'il était prince. Il eut la permission de s'en aller à Strasbourg. Ces choses lointaines me reviennent, & je me rappelle que maître Jean disait que si par malheur pater Bénédic, ou tout autre capucin, avait essayé de séduire sa femme, il n'aurait pas manqué de lui casser la tête avec son marteau. Moi j'aurais fait comme lui; mais notre roi était trop bon, & ce fut une grande honte pour la reine, qu'un cardinal eût seulement espéré la séduire...þ
ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ
| ÇáÚäæÇä | Histoire d'un paysan, 1789, ÇáãÌáÏ 1 Bibliothèque d'éducation et de récréation ÇáãÌáÏ 2 ãä Condition ouvrière |
| ÇáãÄáÝ | Erckmann-Chatrian |
| ÇáÅÕÏÇÑ | 5 |
| ÇáäÇÔÑ | J. Hetzel, 1868 |
| ÃÕáí ãä | ÌÇãÚÉ åÇÑÝÇÑÏ |
| ÇáßÊÈ ÐÇÊ ÇáÊäÓíÞ ÇáÑÞãí | 3 ÊÔÑíä ÇáÃæá (ÃßÊæÈÑ) 2007 |
| ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ | 385 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
| ÊÕÏíÑ ÇáÇÞÊÈÇÓ | BiBTeX EndNote RefMan |