Histoire de Louis XVI et de Mari-Antoinete |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
appelait arrêté arriva aurait avaient avons Bastille bruit c'était cardinal cent charge chose cinq clergé commence comte corps côté coup cour d'Artois déclaration demande députés dernier devait Dieu dire disait donner effet enfin état faisait femme force foule françaises gardes général gens guerre haut heures homme j'ai jeter jeune jouer jour jusqu'à l'Assemblée l'autre l'avait l'ordre laisser Latude lettre liberté lieu livres Louis XVI lui-même madame main maison malheureux mari marquis Maurepas milieu mille ministre Mirabeau mois monde Monsieur monter mort moyen n'avait n'était nation nationale Necker noblesse nommé nouvelle nuit ordres Parlement passer peine pendant père personne peuple pieds place porte pouvait pouvoir premier présenter prince pris prisonnier propos qu'à qu'un quatre refus reine rendre répondit représentants reste rien Rousseau royale s'était s'il seconde sentiments serait seul soir sorte suivant tête tiers tombe tour trouva venait Versailles Voltaire voulait voyant
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 385 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.þ
ÇáÕÝÍÉ 385 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 385 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 384 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces Droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.þ
ÇáÕÝÍÉ 385 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté , ni détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires , doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi , doit obéir à l'instant; il se rend coupable par la résistance. La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie...þ
ÇáÕÝÍÉ 286 - Vous venez, messieurs, d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues. Elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si, par une fatalité qui est loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul je ferai le bien de mes peuples ; seul je me considérerai comme leur véritable représentant...þ
ÇáÕÝÍÉ 357 - Roi que les hordes étrangères dont nous sommes investis ont reçu hier la visite des princes, des princesses, des favoris, des favorites ; et leurs caresses, et leurs exhortations et leurs présents ; dites-lui que, toute la nuit, ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit dans leurs chants impies l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction...þ
ÇáÕÝÍÉ 175 - ... gauche, je l'ai caché; sitôt que je le trouve à droite, il a son droit; qu'au reste, comme depuis cinq cents ans on a souffert des Mirabeau qui n'ont jamais été faits comme les autres, on souffrira encore celui-ci qui, je le promets, ne descendra pas le nom.þ
ÇáÕÝÍÉ 290 - L'Assemblée nationale arrête que, dans les cas susdits, elle prendra toutes les mesures nécessaires pour faire rechercher, poursuivre et punir ceux qui en seront les auteurs, instigateurs ou exécuteurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 101 - Aux yeux de Paris enchanté Reçois en ce jour un hommage Que confirmera d'âge en âge La sévère postérité. Non , tu n'as pas besoin d'atteindre au noir rivage Pour jouir de l'honneur de l'immortalité. Voltaire , reçois la couronne Que l'on vient de te présenter ; II est beau de la mériter Quand c'est la France qui la donne.þ