| Etienne Pivert de Senancour - 1833 - عدد الصفحات: 436
...rosée ; et quand le soleil pa109 raissait, je regrettais la clarté incertaine qui précède l'aurore. J'aimais les fondrières, les vallons obscurs, les...bruyère ; j'aimais beaucoup les grès renversés et les rocs ruineux; j'aimais bien plus ces sables vastes et mobiles, dont nul pas d'homme ne marquait... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1836 - عدد الصفحات: 594
...; et quand » le soleil paraissait, je regrettais la clarté in» certaine qui précède l'aurore ; j'aimais les » fondrières, les vallons obscurs,...collines couvertes de bruyère ; » j'aimais beaucoup les grés renversés, les rocs » ruineux; j'aimais bien plus ces sables vastes » et mobiles dont nul... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1839 - عدد الصفحات: 548
...les collines couvertes de bruyère; j'ai« mais beaucoup les grès renversés, les rocs rui« neux; j'aimais bien plus ces sables vastes et « mobiles dont, nul pas d'homme ne marquait « l'aride surface sillonnée çà et là par la trace in« quiète de la biche ou du lièvre en fuite.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1846 - عدد الصفحات: 560
...et, quand le soleil pa« raissait, je regrettais la clarté incertaine qui précède l'au« rore ; j'aimais les fondrières, les vallons obscurs, les...vastes et mobiles dont nul pas d'homme « ne marquait l'aride surface sillonnée çà et là par la trace « inquiète de la biche ou du lièvre en fuite.... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - عدد الصفحات: 774
...rosée; et quand le soleil paraissait, je regrettais la clarté Incertaine qui précède l'aurore; j'aimais les fondrières, les vallons obscurs, les...rocs ruineux; j'aimais bien plus ces sables vastes el dont nul pas d'homme ne marquait l'aride surface sillonnée ça et là par la trace inquiète de... | |
| Louis Gabriel Michaud - 1842 - عدد الصفحات: 744
...Fontainebleau : « J'aimais les fondriè« res, les vallons obscurs, les bois épais ; j'ai« mais les collines couvertes de bruyère; j'aimais « beaucoup...vastes et mobiles « dont nul pas d'homme ne marquait l'aride « surface, sillonnée ça et là par la trace inquièle « de la biche ou du lièvre en fuite.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1870 - عدد الصفحات: 538
...et, quand le soleil parais« sait, je regrettais la clarté incertaine qui précède « l'aurore ; j'aimais les fondrières, les vallons obscurs, «...vastes et « mobiles dont nul pas d'homme ne marquait l'aride « surface sillonnée çà et là par la trace inquiète de la « biche ou du lièvre en fuite.... | |
| Julian Schmidt - 1873 - عدد الصفحات: 548
...rosée; et quand le soleil paraissait, je regrettais la clarté incertaine qui précède l'aurore ; j'aimais les fondrières, les vallons obscurs, les...collines couvertes de bruyère ; j'aimais beaucoup les grés renversés, les rocs ruineux ; j'aimais bien plus ces sables vastes et mobiles dont nul pas d'homme... | |
| Étienne Pivart de Senancour - 1874 - عدد الصفحات: 448
...de_rosêe ; et quand le soleil paraissait, je regrettais la clarté incertaine qui précède l'aurore. J'aimais les fondrières, les vallons obscurs, les...de bruyère; j'aimais beaucoup les grès renversés et les rocs ruineux; j'aimais bien plus ces sables mobiles, dont nul pas d'homme ne marquait l'aride... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - عدد الصفحات: 546
...et, quand le soleil parais- . « sait, je regrettais la clarté incertaine qui précède « l'aurore; j'aimais les fondrières, les vallons obscurs, «...les « rocs ruineux ; j'aimais bien plus ces sables vestes et « mobiles dont nul pas d'homme ne marquait l'aride « surface sillonnée ça et là par... | |
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