Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, ÇáãÌáÏ 2 |
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antropophages armée arriver assassins assemblée nationale auroit avoient avoit Bailly blée nationale boulangers brigands camarades château Châtelet cocarde comité des subsistances comte d'Artois comte d'Estaing comte de Mirabeau comte de Montmorin conjurés connoissance conspiration coup cour croyoit d'Or d'Orléans avoit demande députés devoit disette disoit donner duc d'Orléans égorger enfans ensuite étoient étoit eût faction faisoient faisoit falloit famille royale Favras Fayette femmes force François fusil fût garde nationale gardes-du-corps gardes-françoises grenadiers heures homme jamais jour journée l'assem l'assemblée nationale l'hôtel-de-ville léans loix Louis XVI mains malheureux mande Marat marquis de Favras ment Messieurs mille ministres monarque Monsieur Moraire Mounier n'avoit n'étoient n'étoit nation Necker octobre officiers Orléanistes pain Palais-Royal passer Passy personne peuple Pinet porte pourroit pouvoient pouvoit prendre prince régiment de Flandres reine reste révolution rien s'écria salle sang seroit seul soldats sorte tems tête tion troupe trouvoit venoient venoit Versailles Voilà vouloit voyoit
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ÇáÕÝÍÉ 68 - Aidez-moi, dans cette circonstance, à assurer le salut de l'État; je l'attends de l'Assemblée nationale : le zèle des représentants de mon peuple, réunis pour le salut commun, m'en est un sûr garant; et, comptant sur l'amour et la fidélité de mes sujets, j'ai donné ordre aux troupes de s'éloigner de Paris et de Versailles. Je vous autorise et vous invite même à faire connaître mes dispositions à la capitale.þ
ÇáÕÝÍÉ 194 - Je commence par déclarer que je regarde comme souverainement impolitique la dénonciation qui vient d'être provoquée : cependant, si l'on persiste à la demander, je suis prêt, moi, à fournir tous les détails et à les signer; mais auparavant, je demande que cette Assemblée déclare que la personne du roi est seule inviolable, et que tous les autres individus de l'Etat, quels qu'ils soient, sont également sujets et responsables devant la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 68 - Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu?þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - velléité est entièrement détruite par les quatre » mots que je leur ai dits, et il ne m'en est resté que » l'idée des ressources inépuisables des cabaleurs. » Vous ne devez regarder cette circonstance que M comme une nouvelle indication de mauvais » desseins , mais non en aucune manière comme þ
ÇáÕÝÍÉ 157 - Mon devoir et ma fidélité l'exigent Il faut que je mette aux pieds de la reine le compte du voyage que j'ai fait à Paris. On me loue de bien dormir la veille d'un assaut ou d'un combat naval. J'ose assurer que je ne suis pas timide en affaires.þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - Roi lui accorde cette grâce, lorsqu'il daigne lui en donner l'assurance, elle est heureuse de penser que Votre Majesté a contribué à la lui faire obtenir.þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - ... habituelle dans ma bonne ville de Paris, dans la confiance que j'y verrai régner la paix et la tranquillité. Je viens de réitérer à l'Assemblée nationale ma résolution de seconder le vœu qu'elle a formé de ne pas se séparer de moi. Dès que je connaîtrai un local convenable pour la tenue de ses séances , je donnerai les ordres nécessaires pour le faire préparer.þ
ÇáÕÝÍÉ 121 - ... part , et qui contrasteraient avec la puissance dont il faudrait, en tout état de cause, le revêtir. Sachons que, dès que nous avons placé la couronne dans une famille désignée, que nous en avons fait le patrimoine de ses aînés , il est imprudent de les alarmer, en les assujettissant à un pouvoir législatif, dont la force reste en leurs mains , et où cependant leur opinion serait méprisée.þ
ÇáÕÝÍÉ 173 - ... simple et qui serait ordonnée par moi : cette velléité est entièrement détruite par les quatre mots que je leur ai dits, et il ne m'en est resté que l'idée des ressources inépuisables des cabaleurs. Vous ne devez regarder cette circonstance que comme une nouvelle indication de mauvais desseins, mais non en aucune manière comme un danger réel. Envoyez ma lettre à M. de Montmorin. — On...þ
ÇáÕÝÍÉ 341 - ... hommes, pour faire assassiner M. de La Fayette et le maire de la ville, et ensuite de nous couper les vivres. MONSIEUR, frère du ROI, était à la tête.þ