Cours de l'histoire de la philosophie moderne, ÇáãÌáÏ 3 |
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absolue actions avons besoin c'est-à-dire caractère cause cesse chap chose commun Condillac condition connaissances conscience conséquent considérer contraire corps cours d'autres d'être désir déterminer développe devoir Dieu différence dire doit donne doute durée école effet également elle-même esprit facultés fondement force forme générale génie genre gouvernement Helvétius Hobbes hommes humaine Ibid idées intérêt jugement juste justice l'âme l'esprit l'État l'homme l'idée l'intérêt l'ordre l'origine l'une langage leç liberté libre lieu livre Locke lois lui-même main ment méthode monde morale mouvement moyen n'en nature naturelle nécessaire nombre notion objets parle particulier passions pensée personne peuple philosophie plaisir porte pouvoir première principe propre propriété puissance qu'une qualités question raison rapport réel règle représente respect rien s'il Saint-Lambert science sens sensation sentiment serait seul siècle signes simple social société sorte souvent souverain suite sujet suppose système théorie tion Traité trouve universel vérité vertu voilà volonté voyez vrai xviie
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ÇáÕÝÍÉ 204 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...þ
ÇáÕÝÍÉ 296 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.þ
ÇáÕÝÍÉ 295 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'èlre bon citoyen ni sujet fidèle.þ
ÇáÕÝÍÉ 202 - Qu'on me montre un autre animal sur la terre qui sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contempler l'univers, m'élever à...þ
ÇáÕÝÍÉ 202 - Il est donc au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles d'autrui comme bonnes ou mauvaises; et c'est à ce principe que je donne le nom de conscience.þ
ÇáÕÝÍÉ 85 - Notre premier objet , celui que nous ne devons jamais perdre de vue, c'est l'étude de l'esprit humain , non pour en découvrir la nature , mais pour en connaître les opérations , observer avec quel art elles se combinent, et comment nous devons les conduire, afin d'acquérir toute l'intelligence dont nous sommes capables.þ
ÇáÕÝÍÉ 200 - Quand les deux sensations à comparer sont aperçues, leur impression est faite, chaque objet est senti, les deux sont sentis, mais leur rapport n'est pas senti pour cela.þ
ÇáÕÝÍÉ 32 - Où est cette raison parfaite, qui est si près de moi et si différente de moi? Où est-elle? Il faut qu'elle soit quelque chose de réel ; car le néant ne peut être parfait, ni perfectionner les natures imparfaites? Où est-elle, cette raison suprême? N'est-elle pas le Dieu que je cherche?þ
ÇáÕÝÍÉ 118 - Soit que nous nous élevions, pour parler métaphoriquement, jusque dans les cieux, soit que nous descendions dans les abîmes, nous ne sortons point de nousmêmes, et ce n'est jamais que notre propre pensée que nous apercevons.þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - ... capables de connaître si un être purement matériel pense ou non , par la raison qu'il nous est impossible de découvrir par la contemplation de nos propres idées, sans révélation, si Dieu n'a point donné à quelques amas de matière disposés comme il le trouve à propos, la puissance d'apercevoir et de penser ; ou s'il a joint et uni à la matière ainsi disposée une substance immatérielle qui pense.þ