L'Internationale et le jacobinisme au ban de l'Europe, ÇáãÌáÏ 2;ÇáãÌáÏ 167 1872 |
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23 mars 28 septembre 30 avril Albert Leblanc Albert Richard armes avaient Bakounine BASTELICA bataillon bourgeois capitaine CAULET DE TAYAC central démocratique chef Chol citoyen Cluseret comité central comité central démocratique comité de salut comité révolutionnaire commandant commission exécutive commission provisoire COMMUNE DE LYON conseil municipal Creuzot Croix-Rousse déclaration défense nationale délégués Documents justificatifs Dumay Duportal Favre fraternité fusil Gaffiot Gambetta garde nationale Gaspard Blanc général Genève gouvernement de Versailles Guillotière heures hommes idem immédiatement jour journal Jules Favre justice l'alliance républicaine l'armée l'Assemblée l'hôtel l'insurrection liberté lieutenant lyonnaise maire mandat manifestation Marseille membre de l'Internationale membres du comité ment militaire officiers ordre organisation ouvrier PARRATON peuple PIÈCE place des Terreaux police politique préfet président prison proclamation Prussiens réaction réactionnaires Répu républicain socialiste RÉPUBLIQUE FRANÇAISE révolution Rhône salle salut public séance secrétaire section septembre 1870 sera sociale sous-lieutenant TAYAC Timbre tion tisseur Toulouse travailleurs Versailles Vive la Commune
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ÇáÕÝÍÉ 325 - Les citoyens dont les revenus n'excèdent point ce qui est nécessaire à leur subsistance sont dispensés de contribuer aux dépenses publiques; les autres doivent les supporter progressivement, selon l'étendue de leur fortune.þ
ÇáÕÝÍÉ 24 - Dans ces cir« constances, le rôle des ouvriers, ou plutôt leur devoir, « est de laisser cette VERMINE BOURGEOISE faire la paix avec « les Prussiens (car la honte de cet acte ne se détachera « jamais d'eux), ne pas les affermir par des émeutes, mais « profiter des libertés que les circonstances vont apporter « pour organiser toutes les forces de la classe ouvrière. þ
ÇáÕÝÍÉ 428 - ... de faire subir aux habitants de cette ville. Traduit en chiffres, cet essai de la Commune coûtera 20 ou 25 millions. La ville de Lyon a subi ce despotisme, parce que vingt ans d'un régime exceptionnel, analogue à celui de Paris, y avait fait oublier les traditions municipales; parce que tous les habitants mêlés à l'administration pendant la période impériale, trop compromis, avaient dû disparaître avec les fonctionnaires de l'empire; parce que la place vide appartenait- aux premiers...þ
ÇáÕÝÍÉ 324 - Le droit de propriété est borné, comme tous les autres, par l'obligation de respecter les droits d'autrui. « Art. 9. Il ne peut préjudicier ni à la sûreté, ni à la liberté, ni -à l'existence, ni à la propriété de nos semblables. « Art. 10. Toute possession, tout trafic qui viole ce principe, est essentiellement illicite et immoral.þ
ÇáÕÝÍÉ 324 - La société est obligée de pourvoir à la. subsistance de tous ses membres, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.þ
ÇáÕÝÍÉ 325 - Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d'exprimer sa volonté avec une entière liberté.þ
ÇáÕÝÍÉ 326 - Les rois, les aristocrates, les tyrans, quels qu'ils soient, sont des esclaves révoltés contre le souverain de la terre qui est le genre humain et contre le législateur de l'Univers qui est la Nature.þ
ÇáÕÝÍÉ 38 - La machine administrative et gouvernementale de l'Etat étant devenue impuissante, est abolie. Le peuple de France rentre en pleine possession de lui-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - Art. 7. — • Cette Convention se réunira immédiatement à l'Hôtel de Ville de Lyon, comme étant la seconde ville de France et la plus à portée de pourvoir énergiquement à la défense du pays. Cette Convention, appuyée par le Peuple entier, sauvera la France. Aux armes!!! E.-B.þ
ÇáÕÝÍÉ 427 - Tout cela me paraît horrible. Mais qui sait si demain les drôles, qui m'ont regardé de travers dès le premier jour, non à cause de mon nom ou des hommes du Gouvernement qui m'envoie, mais tout simplement, parce que je venais de Paris, parce que je représentais l'autorité nationale, destinée à borner celle de l'Internationale, ne me forceront pas à les balayer?þ