Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen; |
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affaires ainſi anciens appelle arrêt articles auſſi avoient avoit avons ayant bénéfices bulles c'eſt cardinal change charge chef choſe civile commerce commun comte concile conformément contraire convention corps cour couronne d'autres déclara dire doit doivent donner eccléſiaſtiques enfin eſt établi Etats étoient étoit évêques fond font force forme François général gens gouvernement guerre Henri hommes jouir jour juge l'égliſe l'Etat l'homme l'un Légats Lettres Liberté libre Liege lieu Ligue livre loix Louis mains majeſté maniere mettre mort moyen n'eſt nation nature naturelle nombre nommés obligé officiers ordonna ordres pape parlement particuliers payer pays perſonne peuple place pluſieurs porter pouvoir premier premiere prince propre provinces public puiſſance qu'à qu'un raiſon rapport regarde regles religion rendre rien rois Romains Rome royaume s'il ſans ſera ſeroit ſes ſeul ſociété ſoit ſon ſont ſous ſouverain ſujets ſur terre territoire titre traité trouve vertu ville Voyez
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ÇáÕÝÍÉ 367 - LOUIS, par la grâce de Dieu , Roi de France & de Navarre : A nos âmes & féaux Confeillers , les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Confeil, Prévôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenans Civils , & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra ; SALUT.þ
ÇáÕÝÍÉ 598 - Le roi, ajoutait-il, qui est le père de tout son peuple, est encore plus particulièrement le père de toute la jeunesse, qui est la fleur de toute la nation. C'est dans la fleur qu'il faut préparer les fruits : que le roi ne dédaigne donc pas de veiller et de faire...þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - ... il faudrait une intelligence supérieure qui vît toutes les passions des hommes, et qui n'en éprouvât aucune; qui n'eût aucun rapport avec notre nature, et qui la connût à fond; dont le bonheur fût indépendant de nous, et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre; enfin, qui, dans le progrès des temps se ménageant une gloire éloignée, pût travailler dans un siècle et jouir dans un autre *. Il faudrait des dieux pour donner des lois aux hommes.þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...þ
ÇáÕÝÍÉ 137 - Les paroles ne forment point un corps de délit; elles ne restent que dans l'idée. La plupart du temps elles ne signifient point par elles-mêmes, mais par le ton dont on les dit. Souvent, en redisant les mêmes paroles, on ne rend pas le même sens : ce sens dépend de la liaison qu'elles ont avec d'autres choses. Quelquefois le silence exprime plus que tous les discours. Il n'ya rien de si équivoque que tout cela.þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - LOUIS , PAR LA GRACE DE DlEU , Roi DE FRANCE ET DE NAVARRE , A nos âmes & féaux Confeillers , les Gens tenant nos Cours de Parlement , Maîtres •des Requêtes ordinaires de notre Hôtel , Grand-Confeil , Prévôt de Paris , Baillifs , Sénéchaux , leurs Lieutenans Civils , & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra : SALUT.þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - ... lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être; d'altérer la constitution de l'homme pour la renforcer; de substituer une existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature. Il faut en un mot, qu'il ôte à l'homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères et dont il ne puisse faire usage sans le secours d'autrui.þ
ÇáÕÝÍÉ 446 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - CAR tel eft notre plaifir ; en témoin de quoi nous avons fait mettre notre fcel à cefdites Préfentes. DONNÉ à Verfailles le premier jour du nuis de Février , l'an de grâce mil fept cent foixame-feize , & de notre règne le fécond. Signe'.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Enjoint aux fubßituts du procureur- général du roi d'y tenir la. main , & d'en certifier la cour dans le mois , fuivant V arrêt de.þ