Histoire de la guerre de la Vendée et des Chouans, depuis son origine jusqu'à la pacification de 1800, ÇáãÌáÏ 2

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Giguet et Michaud, 1806 - 462 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 346 - ... titre d'indemnités, pour les dommages occasionnés par le passage et le séjour des armées; son vœu le plus cher et le plus sacré étant d'alléger, autant qu'il est en son pouvoir, le fardeau des peuples; » Considérant que des bons ou effets royaux, représentatifs d'une valeur réelle, hypothéqués sur les revenus de l'État, signés et admis au nom du roi par les officiers les plus dévoués à sa majesté , ne pourraient qu'obtenir la confiance publique, et seraient acquittés, de...þ
ÇáÕÝÍÉ 447 - ... bienfaisante. • Le peuple de la Vendée a pris les armes pour deux raisons : la première , s'a religion , on la lui laisse ; la seconde , pour s'exempter de tirer à la milice, on le laisse tranquille dans ses foyers ; jamais il ne s'est armé pour son roi ; le genre de gouvernement lui importe peu , pourvu qu'on ne l'opprime pas, pourvu qu'il puisse s'occuper de ses intérêts. Le paysan aime mieux son bœuf que son roi , que sa femme , que ses enfans.þ
ÇáÕÝÍÉ 422 - ... octobre suivant. Que fallait-il de plus? Ils ont, dans la suite, changé d'opinion, je le sais, quoique j'en ignore la cause et les motifs; mais le droit qu'ils ont eu de changer, ne l'avons-nous pas pour persévérer et rester invariables dans notre opinion? » Cette opinion est le fruit de nos réflexions : le malheur des temps l'a fait naître ; c'est pour l'adoucir que nous avons eu recours à l'émission d'un nouveau papier. Il n'entre dans nos mains que pour refluer dans celles des pauvres;...þ
ÇáÕÝÍÉ 140 - D'un côté l'on pille, de l'autre on tue la République. Un peuple de généraux, fiers de leurs épaulettes et bordures en or...þ
ÇáÕÝÍÉ 423 - ... des autres, si cette flétrissante idée pouvait entrer un seul instant dans mon esprit. » Vous me reprochez encore la profusion du nouveau papier. Eh ! plût à Dieu qu'elle fût au pair de la misère actuelle! je n'aurais pas, chaque jour, à gémir sur le sort de ceux qu'il m'est impossible de soulager; mais je dois des comptes. La plus sévère économie réglera mes dépenses ; et si j'ai quelque chose à craindre, c'est que le cœur généreux d'un Bourbon sur le trône, ne me reproche...þ
ÇáÕÝÍÉ 434 - ... popularité , aspiraient à une dictature perpétuelle. Pouvionsnous , en discernant leurs projets à travers le voile dont ils s'enveloppaient , ne pas tenter les derniers efforts pour replacer l'autorité dans des mains que nos principes légitimaient?þ
ÇáÕÝÍÉ 427 - Carrier ? mais la nature indignée s'élevait contre ces monstres ; le cri de la vengeance publique les dévouait à la mort. En les proscrivant , vous n'avez fait qu'obéir à la nécessité ; une faction a remplacé l'autre , et bientôt peut-être le même sort attend celle qui domine aujourd'hui. þ
ÇáÕÝÍÉ 420 - Je pourrais donc, comme son chef, garder le silence, et attendre en paix que les événements vous eussent conduits, ainsi que moi, au tribunal de l'Éternel ou devant le trône de nos rois pour procéder à ma justification. » Mais il est des juges, censeurs bienveillants de ma conduite, aux yeux desquels je serai toujours jaloux de paraître innocent; ce sont mes amis. Je vous regarde comme tels, et c'est à ce titre que je vais vous répondre. Je ne me suis dispensé, ditesvous, d'assister au...þ
ÇáÕÝÍÉ 453 - Considérant que les départements de l'Ouest sont dévastés, depuis deux ans, par une guerre désastreuse ; que les troubles qui les agitent prennent leur source dans la clôture des temples et l'interruption du paisible exercice de tout culte quelconque...þ
ÇáÕÝÍÉ 347 - Voulant donner à tous, et à chacun des habitants du pays conquis et à conquérir pour sa majesté, une preuve authentique de la loyauté des intentions et de la justice des procédés des membres qui le composent, » A arrêté et arrête unanimement ce qui suit : þ

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