Histoire de la Révolution française, ÇáãÌáÏ 7 |
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10 août accusé armée avaient Barbaroux Barère Bertrand de Moleville Brissot Buzot c'était Camille Desmoulins canon Chabot chap château citoyens club des Jacobins cœur Comité de surveillance commissaires Commune conseil général Convention coup crime criminel du 10 Danton déclara décret demande députés devant discours duc de Brunswick Dumouriez ennemis Fabre d'Églantine fédérés fureur garde nationale Georges Duval Gironde Girondins Guadet heures Histoire Ibid jour Journal de Cléry journées de septembre juger l'Abbaye l'abbé Sicard l'Assemblée l'Histoire parlementaire l'hôtel lettre liberté Louis XVI Louvet madame Roland Marat Marseillais massacre Maton Mémoires de Dumouriez ment Michelet ministre Montagnards mort municipaux n'avait n'était passer patrie patriotes Peltier Pétion peuple prêtres prison prisonniers Prudhomme Prusse Prussiens récit République Révolution française révolutionnaires Robespierre Roederer royale s'était Saint-Just sang Santerre sauver séance sections septembre 1792 serait seul soldats Suisses tion tribune Tuileries tyrannie ubi supra Varenne Vergniaud XVII
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ÇáÕÝÍÉ 352 - Un jour peut-être les hommes , aussi éloignés de nos préjugés que nous le sommes de ceux des Vandales , s'étonneront de la barbarie d'un siècle où ce fut quelque chose...þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...þ
ÇáÕÝÍÉ 136 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.þ
ÇáÕÝÍÉ 135 - Paris concerte avec le pouvoir exécutif les mesures qu'elle est dans l'intention de prendre. Je demande aussi que l'Assemblée nationale, qui dans ce moment-ci est plutôt un grand comité militaire qu'un Corps législatif, envoie à l'instant, et chaque jour, douze commissaires au camp, non pour exhorter par de vains discours les citoyens à travailler, mais pour piocher eux-mêmes (Vifs applaudissements) ; car il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis, ou chaque...þ
ÇáÕÝÍÉ 33 - Tant que nous aurons un roi semblable, la liberté ne peut s'affermir: et nous voulons demeurer libres. Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI, tant qu'existera le danger de la patrie ; mais la constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la constitution; nous l'invoquons à notre tour, et nous demandons sa déchéance. Cette grande mesure une fois portée, comme il est très- douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie...þ
ÇáÕÝÍÉ 416 - Tous les habitans , au contraire , desdites villes , bourgs et villages , qui s'empresseront de se soumettre à leur roi en ouvrant leurs portes aux troupes de leurs majestés, seront à l'instant sous leur sauvegarde immédiate; leurs personnes, leurs biens, leurs effets seront sous la protection des lois , et il sera pourvu à la sûreté générale de tous et chacun d'eux. 8...þ
ÇáÕÝÍÉ 352 - L'unique but du comité fut de vous persuader que le roi devait être jugé en simple citoyen; et moi, je dis que le roi doit être jugé en ennemi , que nous avons moins à le juger qu'à le combattre , et que , n'étant pour rien dans le contrat qui unit les Français, les formes de la procédure ne sont point dans la loi civile, mais dans la loi du droit des gens.þ
ÇáÕÝÍÉ 379 - XVI, de quelque manière que ce puisse être, c'est rétrograder vers le despotisme royal et constitutionnel; c'est une idée contre-révolutionnaire; car c'est mettre la révolution ellemême en litige. En effet, si Louis peut être encore l'objet d'un procès, Louis peut être absous ; il peut être innocent. Que dis-je? Il est présumé l'être jusqu'à ce qu'il soit jugé.þ
ÇáÕÝÍÉ 417 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous » les habitants du royaume, de la manière la plus forte » et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et » aux opérations des troupes que je commande, mais de » leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute » bonne volonté , aide et assistance que les circonstances þ
ÇáÕÝÍÉ 226 - Vous qui soutenez la patrie chancelante contre le torrent du despotisme et de l'intrigue, vous que je ne connais que, comme Dieu, par des merveilles ; je m'adresse à vous, monsieur, pour vous prier de vous réunir à moi pour sauver mon triste pays.þ