Les hommes de 1848Décembre-Alonnier, 1869 - 427 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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24 février actes adressée Arago Armand Marrast ateliers nationaux avaient avez avons banquet Barbès barricades Blanqui blique c'était Carnot Caussidière citoyens clubs collègues Commission exécutive conseils de guerre Crémieux déclaration décret demande démocratique devant dictature disait discours discussion donner Dufaure élections eût garde nationale Garnier-Pagès général Cavaignac Girardin gouvernement provisoire Grévy Guizot hommes idées insurgés journaux juillet juin Jules Favre justice l'armée l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'état de siége l'Hôtel-de-Ville l'impôt l'insurrection laisser Lamartine Ledru Ledru-Rollin Léon Faucher libéral liberté lois Louis Blanc lutte manifestation Marie Marrast membres du gouvernement ment mesures militaire ministre monarchie n'avait Odilon Barrot ouvriers Pagès paroles pays peuple Pierre Leroux police politique populaire pouvoir président presse principe proclamation protestation Proudhon publique réaction réactionnaires Réforme représentants Répu républicains République réunion révolution de 1848 révolutionnaire Rollin s'était séance Senard sentiments serait seul situation sociale société Thiers tion travail travailleurs tribune Voilà vote
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ÇáÕÝÍÉ 120 - ... mettre un terme aux longues et iniques souffrances des travailleurs; Que la question du travail est d'une importance suprême; Qu'il n'en est pas de plus haute, de plus digne des préoccupations d'un Gouvernement républicain ; Qu'il appartient surtout à la France d'étudier ardemment et de résoudre un problème posé aujourd'hui chez toutes les nations industrielles de l'Europe; Qu'il faut aviser sans le moindre retard à garantir au peuple les fruits légitimes de son travail...þ
ÇáÕÝÍÉ 289 - Commandés, dirigés, contenus par des chefs qui avaient la pensée secrète de la partie antisocialiste du gouvernement, ces ateliers contre-balancèrent, jusqu'à l'arrivée de l'assemblée nationale, les ouvriers sectaires du Luxembourg et les ouvriers séditieux des clubs...þ
ÇáÕÝÍÉ 405 - ... de toutes les agitations populaires. La trop grande inégalité des conditions et des fortunes a pu se supporter tant qu'elle a été cachée d'un côté par l'ignorance, de l'autre par l'organisation factice de la cité; mais aussitôt que cette inégalité est généralement aperçue, le coup mortel est porté.þ
ÇáÕÝÍÉ 287 - ... fera de la France la patrie des ténèbres, égorgera la liberté, étouffera les arts, décapitera la pensée, niera Dieu; remettra en mouvement ces deux machines fatales qui ne vont pas l'une sans l'autre, la planche aux assignats et la bascule de la guillotine; en un mot, fera froidement ce que les hommes de 93...þ
ÇáÕÝÍÉ 386 - Aléa jacta est / Que Dieu et le peuple prononcent. Il faut laisser quelque chose à la Providence; elle est la lumière de ceux qui, comme nous, ne peuvent pas lire dans les ténèbres de l'avenir.þ
ÇáÕÝÍÉ 167 - ... vérité sociale, si elles sont l'expression des intérêts d'une caste, arrachée à la confiante loyauté du peuple, les élections, qui devaient être le salut de la République, seront sa perte, il n'en faut pas douter. Il...þ
ÇáÕÝÍÉ 102 - ... gouvernements démocratiques; si les États indépendants de l'Italie étaient envahis; si l'on imposait des limites ou des obstacles à leurs transformations intérieures; si on leur contestait à main armée le droit de s'allier entre eux pour consolider une patrie italienne, la République française se croirait en droit d'armer elle-même pour protéger ces mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peuples.þ
ÇáÕÝÍÉ 168 - Élu par vous, il ne peut ni empêcher le mal que produirait l'exercice mal compris d'un droit sacré, ni arrêter votre élan, le jour où, vous apercevant vous-mêmes de vos méprises, vous voudriez changer, dans sa forme, l'exercice de ce droit.þ
ÇáÕÝÍÉ 120 - Considérant que la révolution faite par le peuple doit être faite pour lui; qu'il est temps de mettre un terme aux longues et iniques souffrances des travailleurs; que la question du travail est d'une importance suprême, qu'il n'en est pas de plus haute, de plus digne des préoccupations d'un gouvernement républicain; qu'il appartient surtout à la France d'étudier ardemment et de résoudre un problème posé aujourd'hui chez toutes les nations industrielles...þ
ÇáÕÝÍÉ 380 - Français ne savent pas résister ; si c'est le rejeton d'une des familles qui ont régné sur la France, et s'il n'a jamais renoncé expressément à ce qu'il appelle ses droits ; si le commerce languit, si le peuple souffre, s'il est dans un de ces moments de crise...þ